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2016

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Pedet eo ar brasañ niver da gemer perzh en emvod publik anvet « Peseurt dazont evit sal an Dazont ? », aozet gant ar strollad « Dazont ebet hep  an DAZONT » d’ar merc’her 27 a viz Genver e skol Guérin e Brest.

Pal an eskemm-se etre annezidi ha dilennidi Brest, a zo komprenn pouezusted ar sal kevredigezhel bet prometet gant ar c’huzul kër e 2006 evit diorroiñ ar sevenadur hag an eskemmoù etre remmziadoù tro dro d’ar blasenn Guérin, met ivez evit souten ar stalioù lec’hel niverus er karter Sant-Varzhin. Padal e 2015, skipailh an ti-kêr en doa divizet privatizañ ar blasenn publik evit krouiñ 31 lojeiz e plas sal sevenadurel an Dazont.

Evel enepkapitalourien ha dizalc’hourien Breizh, e fell deomp diskuliañ ar raktres brokañ war ar madoù-leve evel hini LAMOTTE, ha nac’hañ an argerzh a laka tud pinvidik da vevañ er c’harterioù poblel en ur cheñch endro ekonomikel ha sokial ar plasennoù e-lec’h ma vev kentoc’h tud paour. An doare-se ‘vez implijet muioc’h mui gant dilennidi ar c’herioù bras evit kuzhaat ar baourentez, en o zouez reoù Brest.

Asambles, nac’homp ar raktres annezad LAMOTTE, evit ur sal karter !

Evit kaout muioc’h a didouroù, kit e darempred gant ar strollas dazont ebet hep DAZONT dre veil gant ar cholec’h mañ : avenir@riseup.net

Les membres de Bretagne en luttes / Breizh o stourm, appellent le plus grand nombre à venir participer à la réunion publique « Quel avenir pour la salle de l’Avenir ? », à l’initiative du collectif pas d’avenir sans AVENIR, qui se déroulera le mercredi 27 janvier 2016 à 20h30 à l’Ecole Guérin de Brest.

Cette rencontre entre habitants et élus de Brest permettra de rappeler l’importance de cette salle associative promise par la municipalité en 2006, pour faire de la place Guérin un lieu de diffusion culturelle et de rencontres intergénérationnelles, mais aussi pour soutenir les nombreux commerces de proximité présents dans le quartier de Saint-Martin. Pourtant en 2015 l’équipe municipale prétend privatiser l’espace public pour la construction de 31 logements en lieu et place de la salle de l’Avenir.

En tant qu’anticapitaliste et indépendantistes bretons, nous dénonçons ce projet immobilier LAMOTTE, et plus largement le phénomène de gentrification, processus urbain d’embourgeoisement, de plus en plus présent dans les grandes villes et notamment sur Brest. C’est par de tels projets immobiliers, qui profitent surtout aux promoteurs, que des habitants plus aisés s’approprient un espace initialement occupé par des habitants ou usagers moins favorisés, transformant ainsi le profil économique et social de quartiers populaires comme Saint-Martin, au profit exclusif d’une couche sociale supérieure.

Ensemble, refusons ce projet immobilier, pour une salle de quartier !

Pour plus d’infos veuillez contacter le collectif pas d’avenir sans AVENIR par mail à l’adresse suivante : avenir@riseup.net

Kouviet eo ar brasañ niver da gemer perzh er vanifestadeg bet roet lañs dezhi gant strollad enepfaskour Kemper a-benn taliñ ouzh un tolpadeg a-enep an divroidi aozet gant faskourien Adsav d’ar sadorn 23 a viz Genver er memes kumun.

Evel dizalc’hourien, gwregelourezed ha stourmerien kontrol d’ar c’hevala e fell deomp e tigorje ar vanif evit ur vro digor ha kengret ur c’helc’hiad stourm ledan ha poblek a-benn lakaat un termen d’an digastiz frank a seblant roet d’ar strollad-se ha d’ar strolladoù faskour all e breizh na baouezont ket da aozañ tolpadegoù ha da skignañ kemmenadennoù a gasoni. Un digastiz a c’heller kenveriañ gant ar gwask zo lakaet war chouk stourmerien Kernitron al Lann, aozerien manif antifa Pondi d’an 19 a viz Kerzu, pe c’hoazh anarkourien Roazhon asinet er gêr.

Arabat eo lezel an dud-se , hag a zo hep raktres ebet evit Breizh, da adperc’hennañ arouezioù hon identelezh, bezomp niverus disadorn e Kemper.

Laouen e vefomp o kemer perzh en un intrudu heñvel d’ar 6 a viz C’hwevrer e Sant Brieg , ul lec’h hag un deiziad all dibabet gant strolladoù faskour all evit dibuniñ enep d’an divroidi ha skignañ o fropaganda islamgas.

Breizh o Stourm

Bretagne en Luttes/ Breizh O Stourm invite le plus grand nombre à prendre part à la manifestation initiée par le collectif antifasciste de Kemper pour s’opposer le samedi 23 janvier à un rassemblement anti-migrants initié par le groupe néo-fasciste Adsav.

En tant qu’indépendantistes , féministes et anticapitalistes bretons nous souhaitons que l’initiative pour une Bretagne ouverte et solidaire initie un cycle de mobilisations larges et populaires pour mettre un terme à l’impunité totale dont semble bénéficié ce groupe et les autres groupes fascistes qui en Bretagne multiplie les rassemblements et la diffusion de messages de haine. Impunité à mettre en parallèle avec la répression qui s’abat sur les opposants à l’aéroport de Notre Dame des Landes, les menaces de poursuites contre les organisateurs de la manifestation antifasciste de Pontivy en décembre, les assignations à résidence de militants anarchistes Rennais.

Ne laissons pas ces individus qui n’ont aucun projet pour la Bretagne récupérer les symboles de notre identité et soyons présents nombreux à Kemper samedi.

Nous sommes également disponibles pour une initiative du même type le 06 février à St Brieuc date choisie par d’autres groupes fascistes pour défiler contre les migrants et déverser leur propagande islamophobe.

La campagne pour la libération de la prisonnière politique basque Lorentxa Guimon incarcérée à Rennes malgré son état de santé s’élargit. Au Pays Basque elle sera au coeur des manifestations de Bilbo et Baiona (Bayonne) qui auront lieu le 09 janvier pour les droits de l’ensemble des centaines de prisonniers politiques Basques. Jean-Jacques Lassere sénateur et président ( Modem) du conseil départemental des Pyrénées Atlantiques s’est adressé à Manuel Valls pour exiger lui aussi sa remise en liberté.

Parallèlement en Bretagne de très nombreux élus , notamment de la ville de Rennes qui préside au conseil de surveillance du CHU auquel Lorentxa ne peut accéder se sont associés à  une initiative soutenue par des forces politiques diverses , dont la Gauche Indépendantiste, pour réclamer sa remise en liberté. D’autres élus du conseil régional ou du département du Finistère ou de Loire-Atlantique aussi.

Le 14 janvier prochain un tribunal parisien statuera sur le sort de Lorentxa Guimon, peut-être mettra-t-il sa décision en délibéré. Dans ce cas tenez vous prêts, comme en cas de refus, à participer aux nouvelles initiatives de solidarité qui émergeront notamment en Bretagne.

Le prochain rendez vous aura lieu samedi 9 à Rennes , Gare Sud, devant la prison des femmes, à 11H pour rendre public le manifeste suivant:

Si votre orga/collectif/syndicat veut s’y associer il est encore temps.

Liberté pour LORENTXA GUIMON !

La prisonnière politique basque Lorentxa Guimon incarcérée à Rennes est gravement malade et libérable.
Arrêtée en 2003, elle a été condamnée à 20 ans de prison et peut bénéficier de la liberté conditionnelle depuis 2014. Le 24 novembre 2015, les juges lui ont accordé la liberté conditionnelle en faisant état notamment de son état de santé et elle aurait pu être libérée le 17 décembre suivant. Mais le parquet a immédiatement fait appel de cette décision comme il le fait systématiquement dans le cadre de procédures « antiterroristes ». Une nouvelle audience aura lieu à la cour d’appel de Paris, le 14 janvier prochain.
La détenue basque est atteinte de la maladie de Crohn depuis 1991 et sa maladie a atteint un stade très avancé.
Cette maladie inflammatoire chronique du système digestif nécessite un suivi médical rigoureux incompatible avec sa situation de détenue. L’état de la jeune femme s’aggrave significativement depuis septembre 2014. Au vu de son état de santé « catastrophique », son avocate et sa famille ont demandé une expertise médicale.
Les conclusions sont sans appel : l’aggravation de son état et les difficultés quant à son suivi médical sont liés à sa détention. Le 24 novembre dernier, L. Guimon a été hospitalisée d’urgence, fait rare pour un détenu. A cette occasion, des rendez-vous médicaux ont été programmés. La plupart ont dû être annulés car « tout déplacement de la patiente implique l’intervention du GIGN ou du RAID, ce qui entraîne des annulations de dernière minute dans le cas où ces groupes policiers ne sont pas disponibles ». Ces retards et ce manque de suivi médical n’arrangent en rien son état déjà grave. Lorentxa Guimon et sans doute d’autres détenues voient donc leur santé mise en danger en raison de l’état d’urgence.

Depuis, elle a réintégré sa cellule à Rennes dans les mêmes scandaleuses conditions.

Les organisations syndicales et politiques et élues rennaises et d’autres communes en Bretagne exigent , comme de nombreuses personnes et organisations au Pays Basque , la remise en liberté immediate de Lorentxa Guimon.
Elles vous convient à une conference de presse samedi 09 janvier à 11h devant la prison des femmes à Rennes ( Gare Sud ) .

Premiers signataires :
Partis : NPA 35, Gauche Indépendantiste Bretonne (Breizhistance ), les Jeunes Ecologistes, Parti de Gauche 35, Alternative Libertaire,
Elues et personalités : Valérie Faucheux ( élue Ensemble-FdG à la Ville de Rennes), Jean Paul TUAL, Conseiller Municipal de Rennes, PG 35, Yannick Le Gargasson, Conseiller Municipal et conseiller métropolitain de Rennes PG35, Anna Sohier (élue UDB à la Ville de Rennes), Jean-Marie Goater adjoint élu EELV à la Ville de Rennes ) ,Laurent Hamon (élu EELV Conseiller municipal et Conseiller métropolitain de Rennes),Matthieu Theurier et Gaëlle Rougier, co-présidents du groupe des élus écologistes à la Ville de Rennes (EELV), Lena Louarn ( Vice présidente au Conseil Régional de Bretagne en charge la politique linguisitique ), Matthieu Guillemot (conseiller municipal NPA de la ville de Carhaix et conseiller communautaire de Poher communauté ) , Christian Troadec ( maire MBP de Carhaix et conseiller départemental du Finistère ), Primael Petit ( conseiller municipal anticapitaliste et indépendantiste ville de Saint Herblain ), Charlie Grall et Fabrice Cadou ( president et membres du conseil d’adminstration de Skoazell Vreizh/Secours Breton ) , Gael Briand (rédacteur en chef du Peuple Breton), Nil Caouissin porte-parole de l’UDB, Gael Roblin ( ex détenu politique breton )….
Syndicats et collectifs : Sud Education Rennes, Sud Rail Rennes, Solidaires EtudiantEs, Gast ( Collectif feministe), Euskal Herriaren Lagunak Breizh.( Comité Breton de Solidarité avec le Pays Basque ), SLB…

La Gauche indépendantiste bretonne appelle à participer massivement à la mobilisation contre l’expulsion des habitants de la ZAD de Notre Dame des Landes qui aura lieu sur le prériph’ nantais le samedi 9 Janvier.
Cette mobilisation unitaire (à l’appel de la Coordination des opposants, de l’ACIPA, des naturalistes en lutte, de zadistes et des comités locaux) répond à la trahison des accords obtenus par la lutte selon lesquels ni les travaux de l’aéroport ni les expulsions ne commenceraient avant l’épuisement des recours juridiques.
En effet, les habitants et paysans dits « historiques », qui étaient propriétaires ou locataires avant la déclaration d’utilité publique (DUP), ont été assignés en référé expulsion le 10 décembre. AGO-Vinci demandait l’expulsion immédiate des habitants, avec pour contrainte une astreinte financière de 200 à 1000€ par jour. Et mise sous séquestre des biens et cheptels.
Le moment était sans doute malvenu sur le plan politique : COP21 et élections régionales. Les deux avocats ont accepté la mise en suspens de la procédure, celui d’AGO-Vinci affirmant sa volonté de la relancer en janvier.
Après que les tentatives de vider la ZAD par les forces policières ont échoué en 2012, l’État essaie maintenant de le faire sous la pression financière sans même avoir à se risquer à venir sur le terrain.
Il n’est pas question de laisser l’État expulser une partie des habitants, ni même de laisser peser une telle menace sur l’ensemble des occupants de la zone.
Le 30 décembre, AGO-Vinci a relancé la procédure pour une audience contradictoire le mercredi 13 janvier. Une AG le soir même a décidé d’avancer la mobilisation prévue initialement le samedi 16 janvier au 9 janvier. Nous appelons donc à une forte mobilisation le 9 janvier sur le périphérique de Nantes
Une multitude de convois de tracteurs et de vélos partirons des bourgs et villes alentours tôt le matin pour converger vers Nantes. Les différents rdv fixés sur le périph nantais sont :

à vélo:
Bourg de Notre-Dame-des-Landes 8h30
Le Cardo 11h30
Zénith Atlantis 11h30
Cinéville de Saint Sébastien 11h30
Centre Commercial Océane Porte de Rezé 11h30

à pied :
La Neustrie 11h30

Le site de l’ACIPA

Le site de la ZAD