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L’assemblée locale des adhérents Trégorois de la Gauche Indépendantiste ( Bretagne en Luttes/Breizh O Stourm ) félicite les militants du comité de vigilance antifasciste des Côtes d’Armor qui maintiennent le rendez-vous antifasciste prévu avant l’interdiction préfectorale de la manifestation xénophobe de Pegida organisée par un militant du Front National le 06 février à Saint-Brieuc.

Nous appelons donc militants et sympathisants à se rendre à 10h place Allende samedi 6/02 pour participer nombreux à ce rendez-vous où plus que jamais nous devons affirmer ensemble notre refus de la haine xénophobe, islamophobe , antisémite de l’extrême-droite et la nécessité d’un bouleversement social au bénéfice du plus grand nombre , contre l’impérialisme et le capitalisme fauteurs de guerres et de misère.

 

L’assemblée Bretagne en Luttes du Trégor.

La Gauche Indépendantiste dans toutes ses composantes (Breizhistance et Bretagne en Luttes/ Breizh O Stourm) s’associe à cette mobilisation antifasciste et vous invite à populariser l’évènement.

Contre les idées de l’extrême-droite !
Manifestation pour une Bretagne ouverte et solidaire
Pontivy – 19 décembre 14h – Square Lenglier (rue Julien)

Le 14 novembre dernier, au lendemain des attentats meurtriers de Paris, l’extrême-droite la plus radicale a manifesté à Pontivy contre l’accueil des réfugié.e.s.
Les slogans haineux ont vite dérivé de « Dehors les immigré.e.s » à « À mort les immigré.e.s ».
Des personnes ont été passées à tabac, menacées et poursuivies jusque
dans les commerces, pour avoir réagi par des slogans de solidarité ou simplement à cause de leur couleur de peau… Le cortège s’est déplacé jusqu’au Centre d’accueil des demandeurs d’asile. Que serait-il arrivé si celui-ci n’avait pas été vide ?
Le principal instigateur de ces exactions est le parti « Adsav », qui s’affirme nationaliste breton. Mais cet aspect « breton » n’est qu’une coloration de leur idéologie, dont le fondement est avant tout xénophobe.
Cette peur de l’étranger s’insinue bien au-delà de petits groupes radicaux, avec le développement du FN et une grande part du spectre politique qui en reprend les idées.
Et les violences qui en découlent sont bien réelles, comme le montre par exemple l’incendie volontaire d’une salle de prière musulmane à Loudéac dans la nuit du 28 au 29 novembre.
Le samedi suivant les violences à Pontivy, 120 personnes se sont réunies au Palais des Congrès pour réfléchir à une réponse à de tels actes, afin qu’ils ne se reproduisent plus.
Un soutien aux victimes s’est organisé et des questions ont été posées concernant l’attitude des autorités.
Il a de plus été décidé qu’un événement festif et pacifique était la réponse la plus adaptée face au déferlement de la haine, pour rappeler que :


– Les extrémistes religieux qui ont perpétré les attentats de Paris auront gagné s’ils sont la cause d’un repli sur soi identitaire. Ils perdront si nous montrons notre solidarité avec tous/toutes celles et ceux qui souffrent de cette violence aveugle, d’où qu’ils/elles viennent.

– Si la peur nous plonge dans une spirale sécuritaire, il n’y aura plus de libertés à défendre contre les fascismes religieux ou identitaires.

– La culture bretonne n’a rien à voir avec les fascistes. Les breton.ne.s ont été pour beaucoup des réfugié.e.s économiques en France, en Amérique ou ailleurs. Les artistes qui font vivre la culture bretonne l’enrichissent en la métissant.

Contre les idées de l’extrême-droite !
Manifestation pour une Bretagne ouverte et solidaire
Pontivy – 19 décembre 14h – Square Lenglier (rue Julien)

 

Après Rennes, Nantes, Concarneau, un nouveau collectif antifasciste à vue le jour à Kemper.

L’info est tirée d’un blog anarchiste local.

Leur texte :

Enfin! Un collectif antifa Quimper a vu le jour. Suite, bien évidemment, à l’actualité nazillonne quimpéroise. Avant de vous livrer le communiqué du collectif antifa Quimper, que les journaux (Ouest-France, Télégramme et Côté Quimper) ne tarderont pas à publier, nous en sommes sûrs, voici un article de journal qui rappelle les agissements de cette bande organisée.

Dans le Télégramme .

Dans Ouest-France.

Et maintenant, le communiqué :

Face à la multiplication des actes de violence gratuite perpétrés par des individus vraisemblablement associés à l’extrême-droite, nous adressons une réponse unitaire des différentes mouvances alternatives réunies à l’issue de la Fête de l’Autogestion le 30 mai dernier, afin d’exprimer notre préoccupation, mais aussi notre détermination à mettre fin à ces agressions.

Ce qui a tout d’abord commencé par d’insignifiantes menaces et tentatives d’intimidation sur les réseaux sociaux il y a plus d’un an, a évolué en une série d’attaques racistes, politiques, gratuites et haineuses. Incidents d’autant plus choquants que la police cherche à atténuer leur gravité en niant le caractère politique qui motive ces individus, ce qui n’a fait que les conforter dans leur sentiment d’impunité. Ce n’est qu’au cours des dernières semaines, où leur violence s’est étendue à des évènements culturels et musicaux grand public, que la presse locale a enfin daigné évoquer cette menace, alors qu’il y a 6 mois à peine elle préférait blâmer les antifascistes qui perturbaient une manif noyautée par des groupes ouvertement néo-nazis…

De tels évènements dans une ville aussi discrète que Quimper sont révélateurs d’un phénomène qui touche toute la France : la montée d’une extrême-droite déchaînant sans complexes son agenda haineux, tout en se présentant comme victime de l’oppression de ses opposants. C’est la même stratégie qu’adoptent les boneheads (skinheads racistes) sévissant à Quimper, qui se dérobent à la responsabilité de leurs exactions en niant toute affinité politique dès qu’ils doivent rendre des comptes. Leurs fréquentations ne laissent pourtant aucun doute : Adsav, Breiz Atao, Bloc Identitaire, Blood&Honour. On leur doit la venue à Quimper de nazillons de Vendée ou d’ailleurs, ainsi que les tags, apparus aux alentours de l’hôpital Gourmelen, de croix gammées et de croix celtiques écourtées (symbole de la suprématie blanche chez les nationalistes du monde entier).
Pour finir, profitant de l’absence d’une opposition antifasciste organisée, leur nombre augmente au fil du temps. Que diront alors les personnes préférant garder la tête dans le sable, qui estiment que parler de menace “fasciste” est exagéré et alarmiste?

Il n’y a pas de tolérance à accorder à des gens dont la volonté affichée est d’instaurer un climat de terreur dans la région. Quelle est la finalité de cette pseudo-milice, si ce n’est faciliter (consciemment ou non) l’implantation de groupuscules d’extrême-droite plus sérieux? Si ces crânes rasés n’ont pas le monopole de la violence, il sont cependant les seuls à l’appliquer avec préméditation et à des fins idéologiques. Quand même une fête de village se retrouve ciblée par ces nervis, comment prédire quelle sera leur prochaine cible?

Nous souhaitons non seulement condamner leurs agissements mais également témoigner notre solidarité aux victimes. Nous resterons attentifs et vigilants et nous ne lâcherons rien!

L’émotion est palpable à Rennes depuis qu’est connue la nouvelle relative à la tenue d’un meeting du FN dans l’ancienne bourse du travail (salle de la Cité) samedi 8 février dans le cadre des élections municipales. De nombreux appels à manifester contre cette insulte faire à la mémoire du mouvement ouvrier fusent.

Nous appelons nos adhérents et sympathisants à se joindre au cortège antifasciste qui partira de la place des Lices à 18H30 place des Lices.

Nous sommes stupéfaits du manque de courage de la municipalité PS/PC/PRG/UDB qui a accepté cette location en invoquant la légalité républicaine, et de son hypocrisie alors que cette même équipe a refusé un prêt de salle (au Champ de mars) à un collectif de chômeurs le 5 décembre 2009 et avait justifié l’intervention violente de la police qui avait blessé des manifestants.

Le PS banalise ainsi le Front National en le présentant comme un parti comme les autres.

L’équipe municipale ajoute dans Ouest-France (édition de Rennes du 6 février) que le refus de location peut être motivé  « par des considérations fondées sur le maintien de l’ordre et la tranquillité publique ». Alors que la préfecture annonce une véritable occupation militaire de la vieille ville pour garantir au FN son droit de réunion, personne ne doute que le risque de violences sera grand samedi. C’est la majorité municipale qui en sera responsable, pas les antifascistes.

Les militants de la Gauche Indépendantiste de Rennes (Breizhistance)

La commune est connue en raison de la bataille qui eue lieu sur son territoire  entre les armées française et bretonne en 1488 et qui mit un terme à l’indépendance de notre pays.

C’est dans cette commune que Marine Lepen viendra tenir meeting pour lancer la campagne de son parti pour les élections municipales, et ceci le samedi 26 octobre à midi.

Mais Saint-Aubin n’est pas Brignoles et plusieurs habitants de la commune sont incommodés par le banquet organisé par l’extrême-droite. Ils se sont organisés pour refuser la présence de Marine Lepen et des ses idées racistes, ils ont invités les partis et syndicats à défiler avec eux pour empêcher « la progression des idées du FN en Bretagne ».

 « La Bretagne n’est pas une poubelle, qu’il gardent leurs ordures en France » disent certains…pour rappeler avec humour que les bretons avaient refusés que soient enfouis des déchets sur le site de la bataille historique.

Les militants de la Gauche indépendantiste comme de nombreuses autres organisations ont fait savoir qu’ils viendront prendre part à la manifestation antifasciste qui aura lieu ce jour là à 13H30 , rendez vous devant la mairie dés 12h30 pour partager un repas.

Bretagne-info

 

En em gannañ a raimp c’hoazh e Sant-Albin-an-Hiliber ?

En em gannañ a raimp c’hoazh e Sant-Albin-an-Hiliber ?

Gouzout a ouzer eo brudet an var gumun abalamour d’an emgann etre armeou Breizh ha bro-C’hall bet dalc’het war dachenn ar gumun e 1488  a lakaas un termen da zizalc’hiezh hor bro.

Er gumun-se avat e teuio Marine Lepen da zerc’hel ur meeting a-benn reiñ lañs da goulzad kabaliñ he strollad evit an dilennadegoù kêr, ha kement-se d’ar Sadorn 26 a viz Here da 12e.

Met Sant Albin n’eo ket Brignoles ha setu m’eo displijet annezidi zo eus ar gumun gant ar fizkoan aozet gant an tu-dehoù pellañ. En em glevet int evit taliñ eus bezañs Marine Lepen hag he mennozhioù gouennelour, kouviet o deus strolladoù ha sindikadoù ar vro da zibuniñ gante evit mirout ouzh an FN «  da lakaat e nerzh da greskiñ e Breizh ».

« N’eus ket ur boubelenn eus Breizh, n’o deus nemet da zerc’hel o loustonioù e Bro-C’hall » eme lod… evit adkas da soñj, gant fent, o doa nac’het ar vretoned e vije douaret loustonioù war dachenn an emgann istorel.

Dizalc’hourien an tu-kleiz o deus roet da c’houzout e teufent da gemer perzh er vanifestadeg a-enep ar faskourien a vo dalc’het d’an devezh se da 1e30 GM (emgav dirak an ti-kêr da 12e30 evit ur pik-nik) evel un toullad strolladoù all.

Keleier Breizh dieub ha sokialour