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Voici une liste non-exhaustive des mobilisations contre la loi Travail en Bretagne le 31 mars. Plus d’une vingtaine de villes seront mobilisées pour demander le retrait pur et simple de projet.

  • Nantes/Naoned : 10h30 — Place du commerce
  • Saint Nazaire/Sant-Nazer : 10h00 —Place de l’Amérique Latine
  • Rennes/Roazhon : 11h00 — Esplanade Général de Gaulle (Métro Charles de Gaulle)
  • Redon : 11h00 — Sous-Préfecture
  • Brest : 10h30 — Place de la liberté
  • Vannes/Gwened : 14h00 — La Rabine
  • Quimper/Kemper : 10h30 — Place de la Résistance
  • Lannion/Lannuon : 11h30 — Place Caerphilly
  • Lorient/An Oriant : 14h00 — 84 Boulevard Cosmao Dumanoir
  • Saint-Brieuc/Sant-Brieg : 10h30 — Place de la Liberté
  • Guingamp/Gwengamp : 14h00 — Place du Vally
  • Morlaix/Montroulez : 10h30 — Place de la mairie
  • Quimperlé/Kemperle : 10h30 — Devant la salle du Coat Ker
  • Vitré/Gwitreg :17h30 — Place du Général de Gaulle
  • Dinan : 11h30 — Esplanade de la Résistance
  • Carhaix/Karaez : 10h30 — Espace Fumeurs Paul-Sérusier
  • Loudéac/Loudieg : 12h00 — Place du Champs de mars
  • Pontivy/Pondi : 14h00 — La Plaine
  • Belle-île-en-Mer / Enez ar Gerveur : 14h00 — Le Port du Palais
  • Lanester / Lannarstêr : 9h30 — Pôle Emploi
  • Ancenis / Ankiniz : 10h30 — Station Esso RD 723
  • Châteaubriant / Kastellbrient : 10h30 — Théâtre de Verre

Voici le premier bulletin de « Bretagne en luttes / Breizh o stourm ». Nous publierons occasionnellement ce nouvel outil au service de l’indépendance et du socialisme. Une version papier sera également diffusée dans les manifs et lieux que nous fréquentons.

Voici la version PDF de ce bulletin :

On saura demain si le mouvement contre le projet de réforme du Code du Travail continue à prendre de l’ampleur. Une date choisie par les mouvements de base dans les Universités et Lycées, et relayée par les UL et branches de certains syndicats.

Le 31/03 (jour de mobilisation relayé par les centrales syndicales) et le 05/04 sont déjà deux dates à retenir. Nous invitons à renforcer les mobilisations à la base, sur des bases radicales ayant pour objectif de bloquer l’économie sans oublier dans nos revendications l’exigence de la mise en liberté et la solidarité de classe avec les incarcérés et réprimés des dernières mobilisations à Nantes et Rennes.

Le 17/03 dernier, plus de 20 000 personnes avaient manifesté en Bretagne contre le projet de loi rétrograde sur le Code du Travail. A nous de faire mieux !

La Gauche Indépendantiste.

  • Nantes/Naoned : 11h00 — Place du commerce
  • Saint Nazaire/Sant-Nazer : 10h00 — Hôtel de ville
  • Rennes/Roazhon : 12h00 — Place du Parlement de Bretagne.
  • Redon : 09h00 — Lycée Beaumont
  • Brest : 12h00 — Place de la liberté
  • Vannes/Gwened : à préciser
  • Quimper/Kemper : 12h00 — Place de la Résistance
  • Lannion/Lannuon : 14h00 — Lycée Dantec
  • Lorient/An Oriant : 14h00 — 84 bd dumanoir
  • Saint-Brieuc/Sant-Brieg : 11h00 — Place de la préfecture
  • Guingamp/Gwengamp : 10h30 — Devant Lidl + Place du Vally 11h30
  • Morlaix/Montroulez : 12h00 — Place de la mairie
  • Quimperlé/Kemperle : 12h00 — Devant la salle du Coat Ker

En Corse, les militants anticapitalistes et indépendantistes de A Manca appellent à se battre contre le projet de réforme du code du travail porté par le Ministre El Khomri.
Voici leur communiqué d’appel à mobilisation.

C’est le 9 mars, que sera présenté en Conseil des ministres, ce que les sociaux libéraux appellent :
« la réforme du Code du travail ». Son examen à l’assemblée nationale devrait commencer aux alentours des 4 et 5 avril 2016.
Les choses sont claires, nous avons un mois pour battre dans la rue ce gouvernement du 19ème siècle !
Pourquoi les battre ? C’est à une agression sociale caractérisée à laquelle se livrent Hollande et Valls. Toujours prêts à faire des cadeaux à leurs amis du patronat, ils veulent pour cela mettre le monde du travail à genoux. Un résumé de leur projet suffit à nous le faire comprendre. Voilà ce qu’ils proposent :
– Augmentation du temps de travail pour les apprentis (10h/Jour et 40h/Semaine)
– Le tarif des heures supplémentaires peut être diminué de 5 fois sur simple accord d’entreprise.
– De nouvelles possibilités de licenciement arbitraire
– L’augmentation 10h à 12h de travail par jour sur simple accord
– Suppression des garanties pour les congés payés en cas de décès d’un proche (mère, père, sœur, etc.)
– Augmentation du nombre de semaines où l’on peut travailler 44h ou 46h, s’il y a un accord.
– Suppression du minimum de dommages et intérêts en cas de licenciement injustifié.
– Supression du Temps de trajet dans le décompte du temps de travail.

Etc…
En Corse, avec plus de 22% de chômeurs et 63 316 personnes qui vivent avec moins de 924 euros de revenu par mois (chiffres 2014), cette nouvelle agression sociale aggraverait nos conditions de vie et de travail. Ce qu’ils cherchent est facile à deviner : affaiblir par tous les moyens nos capacités de défense collective.

Comment les battre ? Par la mobilisation unitaire des travailleurs, de tous les précaires, des chômeurs et de la jeunesse. Il ne s’agit en aucun cas de demander un aménagement de cette loi. Ce que nous devons exiger c’est son retrait sans conditions. Pour cela il n’y a qu’un seul moyen : LA GRÈVE GÉNÉRALE !!!

C’est l’affaire de toutes et de tous, syndiqués et non syndiqués, du secteur privé comme du secteur public. En expliquant clairement les enjeux la mobilisation sera massive, déterminée, sans concessions.
Les mots d’ordre ? GRÈVE GÉNÉRALE ET RETRAIT DE LA LOI !!!

A Manca en appelle à l’unité dans la lutte de l’ensemble du monde du travail.
Ensemble tout est possible !!!

Aujourd’hui, à l’appel du LKP se déroulent manifestations et grève générale en Guadeloupe. Ce mouvement fait suite notamment au non respect et à la remise en cause par le grand patronat, l’Etat français et les collectivités, des acquis du protocole signé suite au mouvement populaire du premier trimestre 2009.

Logo_UGTG-4Par ailleurs depuis quelques mois, plusieurs représentants syndicaux subissent une répression importante orchestrée par le grand patronat et l’Etat coloniale français. Pour avoir osé se rebeller contre la pwofitasion, s’être exprimé en créole devant la justice, avoir refusé des prélèvements ADN injustifiés, avoir défendu dans leurs entreprises les accords des 26 février et 4 mars 2009, les représentants syndicaux de l’Union Générale des Travailleurs de Guadeloupe, sont aujourd’hui traduits en justice écopant plusieurs fois de condamnations à la prison ferme. C’est notamment le cas de Charly Lengo et huit autres membres du Syndicat de l’hôtellerie et de la restauration de l’UGTG, convoqués deux fois début novembre pour une «éventuelle» mise en examen pour homicide indirect suite à l’accident d’un cyclomotoriste survenu en février 2009.

Ces procès et accusations sont évidement voulus par le pouvoir et le grand patronat afin de remettre en cause les acquis du LKP et affaiblir le mouvement ouvrier Guadeloupéen. Nous adressons notre soutien fraternel aux travailleurs guadeloupéens et invitons à se joindre aux initiatives de solidarité à la grève générale guadeloupéenne organisées en Bretagne, notamment à Rennes (17h devant la mairie) et Nantes (stand d’information au marché de noël).

Appel du LKP pour la grève générale du 14 décembre 2010 : http://ugtg.org/article_1382.html

Appel international d’Eli Domota secrétaire Général de l’UGTG : http://ugtg.org/article_1365.html

Châteaubriant/Kastellbrient
Châteaubriant/Kastellbriant

La septième journée de mobilisation hexagonale et unitaire contre la réforme des retraites de samedi aura été comparable aux précédentes, c’est à dire réussie et imposante. Elle aura néanmoins démontrer comme pour les autres son incapacité à créer un rapport de force suffisant face à un gouvernement français toujours intransigeant.

Lannion/Lannuon
Lannion/Lannuon

Maintenir et imposer des conditions de travail, de salaires, d’emplois et de retraites favorables aux travailleurs est une lutte qui n’est évidemment pas facile face à un gouvernement français extrêmement autoritaire. Un gouvernement très libéral qui une fois plus à choisi de s’attaquer aux acquis des classes laborieuses quand les revenus des grands patrons augmentent par millions. Le degrés toujours croissant d’injustice sociale dans l’Hexagone impose aujourd’hui aux salariés et à leurs représentants de ne pas perdre cette bataille des retraites !

Il est aujourd’hui plus qu’évident que l’échelonnage des journées de manifestation et de grève ne fera pas céder le gouvernement français. Celui-ci nous le voyons bien s’est prémunis face à la « bataille des chiffres », et espérer 100 000 ou un million de manifestants de plus dans les rues le 12 octobre ne changera semble-t-il pas la donne. L’UMP et

Rennes/Roazhon (blocage centre Visitation)
Rennes/Roazhon (blocage centre Visitation)

ses amis du MEDEF doivent être clairement menacés dans leurs intérêts si nous voulons gagner. Nous appelons donc d’ici le 12 octobre à généraliser les appels à la grève générale reconductible, et à créer ces conditions en multipliant les actions de blocage économique. Déjà certaines fédérations ont posés des préavis de grève illimitées à partir du 12 octobre. La mobilisation des travailleurs des ports maritimes dans différents endroits de l’Hexagone est à ce titre exemplaires et demande à être suivie. Outre sur le port de Saint-Nazaire, des actions émergent en Bretagne depuis le 23 septembre avec notamment des blocages de route comme, qui ont été reconduit samedi à Quimperlé. Il faut de même noter qu’à Rennes des piquets de grève improvisés auront permis de faire fermer de grandes enseignes pendant plusieurs heures mercredi et samedi dernier. Leurs existences indiquent la possibilité de les intensifier et elles appellent à une conduite démocratique du mouvement à la base par l’organisation d’assemblées générales populaires dans toutes les villes de Bretagne. C’est d’ailleurs la seule voie cohérente à prendre si nous voulons vaincre et éviter les arrestations suivant les émeutes du 23 septembre à Saint-Nazaire et du CPE.

Quimperlé/Kemperle (blocage 4 voies)

Quimperlé/Kemperle (blocage 4 voies)

Nous souhaitons d’ailleurs réaffirmer notre solidarité avec les trois jeunes jugés et emprisonnés pour deux d’entre eux après la manifestation du 23 septembre à Saint-Nazaire, dont la libération a été éxigée par les organisations syndicales, CFDT, CGT, CFE/CGC, Solidaires, UNSA. Nous nous déclarons prêts à participer à toute initiative pour construire la nécessaire solidarité avec eux.

Bretagne libre et socialiste !

Jonathan GUILLAUME

La mobilisation du 23 septembre est une réussite, comme le fût celle du 7 septembre, mais aussi comme le fût celle du 24 juin ! De même rappelons les grèves du 27 mai et du 23 mars 2010 qui portaient déjà sur le réforme des retraites… 5 jours de grèves et de manifestations contre un gouvernement qui très clairement ne compte pas céder, et maintenant deux autres journées annoncées par l’intersyndicale parisienne pour le samedi 2 octobre et le jeudi 12 octobre.

Si la mobilisation était comparable entre le 7 septembre et le 23 septembre en France comme en Bretagne, il faut selon nous y ajouter plusieurs éléments.

Depuis déjà plusieurs semaines l’Union Syndicale Solidaires, la CGT-FO, la FSU Loire-Atlantique et la CNT soutiennent la reconduction de la grève. Tout comme l’intersyndicale-Culture (CFTC, CFDT, CGT, FSU, SUD, UNSA), la CGT-services publics, la CGT-organismes sociaux, la CGT- Education, le SNUAS-FSU (assistants sociaux), la CGT-Chimie, CFTC-SNCF, le SNETAP FSU (enseignement agricole). A France-Télévision CGT, FO et CFTC ont déposés le 23 septembre un préavis de grève reconductible… Et sans oublier celui déposé en Loire-Atlantique dés le 13 septembre au niveau de l’éducation nationale.

De plus jeudi dernier ce sont les actions de blocages qui se sont multipliées en Bretagne à Ancenis (RN 23), Nantes (Pont de Pirmil) , Pont de Saint-Nazaire, Lorient (RN 165), et parfois des actions de barbouillage des permanences de députés UMP, comme à Chateaubriant et à Vertou . On notera aussi la mobilisation ce jeudi des habitants de l’île d’Ouessant pour la première fois, sans oublier la population d’autres îles bretonnes comme Groix et Belle-Ile. L’entrée en grève illimitée dans certaines entreprises comme à la raffinerie de Donges. Sans oublier les incidents survenues suite aux manifestations de et Saint-Nazaire, où des affrontements ont été éclatés avec les forces de l’ordre devant la préfecture, qui témoignent évidemment de la colère et du climat social.

Il faut aussi ajouter à ce constat l’exemple des manifestations de Saint-Nazaire ou de Rennes, où la divergence des points de vue sur la forme et le fond de ces mobilisations se sont matérialisées. A Rennes par exemple où un cortège de quelques milliers de personnes et mené par les syndicats CGT-FO, SUD, CNT et SLB, a su se démarquer pour proposer une alternative différente de celle proposée par l’intersyndicale CGT/CFDT/CFTC/FSU/UNSA.

60558_1613275613475_1283825147_31704717_2022808_n Dans les cortèges les mots de « grève générale » et de « retrait total » de la réforme, se sont fait de plus en plus importants. Pourquoi ? Parce qu’il est clair que Sarkozy ne nous laissera jamais récrire les lignes les plus importantes du projet. De même qu’il ne cédera pas sans qu’en soit inquiétées les ressources économiques de ses amis du CAC 40 et son pouvoir politique. Face à l’attitude du gouvernement et au vue de ces éléments nous constatons que le mode d’action doit monter en grade. Il est bien question de la reconduction générale de la grève. Nous redoutons cependant qu’au sein de l’intersyndicale majoritaire certaines centrales s’y opposent par principe. La mise en place de coordinations « régionales » afin de faire émerger de nouvelles dynamiques de lutte permettant de faire faillir le gouvernement s’imposent à nous. De n’importe quel endroit où des victoires peuvent être concrétisées, elles profiteront de toute manière à l’ensemble des travailleurs de l’Hexagone. Ceci nous paraît notamment judicieux à mettre en place en Bretagne (Loire-Atlantique incluse biensûr) où le degrés de mobilisation par rapport à la moyenne hexagonale apparaît important. Nous devons faire remonter ces revendications auprès des représentants des intersyndicales locales et dans certains endroits amener si nécessaire à dépasser le cadre de l’intersyndicale majoritaire. Les exemples de la lutte contre le CPE du LKP et du collectif du 5 février dans les Caraïbes en 2008, qui représentent les dernières victoires sociales obtenues dans le cadre de l’Etat français, sont selon nous à regarder de près. Nous invitons nos camarades à s’investir en priorité pour construire une grève de masse, de classe et populaire autogérée par la base ici en Bretagne.

Le projet de réforme des retraites sera discuté à l’assemblée nationale le 7 septembre prochain et le sera au minimum jusqu’au 14 septembre. Une journée de mobilisation unitaire est prévue ce mardi 7 septembre, soyons nombreux à nous y rendre.

Alors que la réforme sur les retraites voulue par le gouvernement s’annonce comme une régression sociale sans précédent, que les plus grandes fortunes sont de plus en plus fortunées, malgré la crise et pendant que nous, nous trimons, la grève annoncée mardi est la seule occasion de contrer la politique néolibérale de l’Etat français. Tout se joue ici et nous n’avons pas à attendre l’élection présidentielle de 2012 (et rien à en attendre non plus) comme voudrait nous le faire croire le PSF et ceux qui s’attèle (déjà !) à une candidature unique de la gauche institutionnelle d’ici là. C’est bien là l’objet de la stratégie des manifestations épisodiques et peu revendicatives dont s’accommodent aussi les grandes centrales syndicales. Ce qu’on nous propose là, c’est ni plus ni moins qu’un renoncement face au projet du gouvernement, doublé d’une promesse illusoire de retour à la normale en cas d’alternance. Or on connait la politique du PSF et de ces alliés : privatisations, démantèlement du service public, financiarisation.

Déjà certaines unions locales ou syndicats de branche en Bretagne cherchent à mettre en pratique ce que réclament les manifestants des 27 mai et 24 juin. C’est le cas en Loire-Atlantique avec l’appel commun pour une grève interprofessionnelle FSU 44-Solidaires 44-UD-CGT-FO 44.

Pour nous, le maintien d’une retraite à 60 ans requiert une mobilisation immédiate, massive et ininterrompue jusqu’au retrait du projet de loi. Ce qu’il nous faut, c’est une retraite à 60 ans à taux plein avec 37,5 annuités et créer les conditions de son financement en taxant fortement les haut revenus, les bénéfices et en augmentant les cotisations patronales.

Tous dans la rue le mardi 7 septembre et les jours suivants !

Principaux rassemblements :

ANCENIS/ANKINIZ : devant la sous-préfecture, 14h30.

BREST : place de la Liberté, 10h30.

CHATEAUBRIAND/KASTELLBRIANT : devant la mairie, 14h30.

FOUGERES/FELGER : devant la sous-préfecture, 17h00.

GUINGAMP/GWENGAMP : place du Champs au Roy devant l’Echiquier, 11h30.

LANNION/LANNUON : devant le Tribunal, 11h30.

LORIENT/AN ORIANT : maison des Syndicats, 10h00

MORLAIX/MONTROULEZ : place de la Mairie, 10h30.

NANTES/NAONED : place du Commerce, 14h30.

PONTIVY/PONDI : La Plaine, 10h00.

QUIMPER/KEMPER : place de la Résistance, 10h30

QUIMPERLE/KEMPERLE : Coat Ker, 10h30.

REDON : devant la sous-préfecture, 17h30.

RENNES/ROAZHON : place de la Gare, 11h00. Rendez-vous est donné dès le lendemain, mercredi à 17h30, place de la Mairie à Rennes, à l’appel de SUD-PTT.

SAINT-BRIEUC/SANT-BRIEG : place de la Liberté, 10h30.

SAINT-MALO/SANT-MALO : place de l’Ancienne Gare, 11h00.

SAINT-NAZAIRE/SANT-NAZER : Ruban Bleu, 14h30.

VANNES/GWENED : La Rabine, 10h00.