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On saura demain si le mouvement contre le projet de réforme du Code du Travail continue à prendre de l’ampleur. Une date choisie par les mouvements de base dans les Universités et Lycées, et relayée par les UL et branches de certains syndicats.

Le 31/03 (jour de mobilisation relayé par les centrales syndicales) et le 05/04 sont déjà deux dates à retenir. Nous invitons à renforcer les mobilisations à la base, sur des bases radicales ayant pour objectif de bloquer l’économie sans oublier dans nos revendications l’exigence de la mise en liberté et la solidarité de classe avec les incarcérés et réprimés des dernières mobilisations à Nantes et Rennes.

Le 17/03 dernier, plus de 20 000 personnes avaient manifesté en Bretagne contre le projet de loi rétrograde sur le Code du Travail. A nous de faire mieux !

La Gauche Indépendantiste.

  • Nantes/Naoned : 11h00 — Place du commerce
  • Saint Nazaire/Sant-Nazer : 10h00 — Hôtel de ville
  • Rennes/Roazhon : 12h00 — Place du Parlement de Bretagne.
  • Redon : 09h00 — Lycée Beaumont
  • Brest : 12h00 — Place de la liberté
  • Vannes/Gwened : à préciser
  • Quimper/Kemper : 12h00 — Place de la Résistance
  • Lannion/Lannuon : 14h00 — Lycée Dantec
  • Lorient/An Oriant : 14h00 — 84 bd dumanoir
  • Saint-Brieuc/Sant-Brieg : 11h00 — Place de la préfecture
  • Guingamp/Gwengamp : 10h30 — Devant Lidl + Place du Vally 11h30
  • Morlaix/Montroulez : 12h00 — Place de la mairie
  • Quimperlé/Kemperle : 12h00 — Devant la salle du Coat Ker

Depuis la manifestation anti-immigration du groupe néo-fasciste Adsav en novembre dernier à Pontivy, le terrain des mobilisations antifascistes s’est déplacé des métropoles (Nantes, Brest, Rennes) dans des communes de tailles plus modestes.

Ce sont ces zones urbaines moins vastes ou des zones encore un peu rurales que les groupes fascistes essayent de contaminer de leurs discours de haine et en essayant d’imposer leurs problématique (celle de l’immigration-invasion), d’abord par ce que dans ces zones le FN a fortement progressé et ensuite par ce qu’il est difficile en terme d’implantation et de rapports de forces pour ces groupes de défiler impunément dans les grandes villes.

Le manifestation de Pontivy — survenue au lendemain des attentats de Paris contre le Bataclan et le Stade de France — s’était déroulée malgré l’état d’urgence et avait donné lieux à des actes de violences mal perçus par la population locale. Soulignons la tentative d’occupation d’un local devant accueillir des réfugiés, heureusement vide ce jour là.

Après une tentative le jour-même de présence dans la rue qui avait tourné court, les antifascistes locaux s’étaient donnés rendez-vous avec les orgas de la gauche « traditionnelle » le 19 décembre dans cette même ville.

Mal leur en pris car alors que le préfet avait laissé les fascistes se livrer à des actes de violences physiques en novembre il a simplement interdit la manifestation antifasciste. Le premier effet a été de diviser les organisateurs, ainsi la CGT et les orgas satellites du Front de Gauche ont elles renoncé à mobiliser officiellement ce jour là (même si certains de leurs membres furent bien présents). Plusieurs centaines de personnes défileront tout de même sans heurt sur un court parcours encadré, et le préfet parlera lui de poursuites à leurs encontre pour avoir osé défier l’état d’urgence répondant en cela aux injonctions du site antisémite Breiz Atao.

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Saint Brieuc antifasciste !

Entre la manif de Pontivy et celle de Kemper eurent lieu des mobilisations d’Adsav et du Font National contre l’arrivée de migrants à Ploermel et Fouesnant, petites initiatives d’un point de vue numérique mais qui donnèrent lieu à des contre rassemblements pacifiques dont l’un atteindra plusieurs centaines de personnes pour souhaiter la bienvenue en Bretagne aux Kurdes d’Irak accueillis dans cette commune après avoir fuient DAESH et l’enfer de la jungle de Calais.

Le Front National récemment entré au conseil régional de Bretagne se garde bien de s’afficher aux cotés des fascistes bretons d’Adsav ou de petits groupes de l’extrême droite radicale. Les pseudos-indépendantistes d’Adsav qui ne s’expriment plus ou quasiment que sur l’immigration eux n’ont absolument aucun complexe à organiser des rassemblements conjointement avec l’extrême-droite radicale la plus tricolore. Ainsi à Brest le 10/12 verra-t- on le porte-parole d’Adsav partager le mégaphone avec la très française Résistance Républicaine aux cotés de Madame Dupont-Tingault militante d’extrême-droite ex FN et ex MNR connue pour son soutien sans faille à l’Algérie Française et à l’OAS. Ce jour là les antifas Brestois occupèrent eux aussi la rue.

Adsav Brest (Dupont-Tingaud)

Adsav : saluts Nazis et drapeaux français….

A Kemper/Quimper le 23 janvier Adsav envisageait de continuer sur sa dynamique de haine pour défiler contre l’immigration-invasion. Entre 100 à 120 personnes ont répondus à leur appel. Soulignons qu’une fois de plus que tous les détritus de l’extrême-droite en Bretagne faisant fi de leurs différences répondirent présents , ainsi trouvait on pêle-mêle des adhérents ou ex adhérents du Bloc Identitaire, des membres de Renouveau Français et encore de Résistance Républicaine. Des drapeaux français bien visibles dans le cortège de ces pseudos “militants Bretons” et des saluts Nazis à foison finirent ce jour là de lever le voile sur la réalité d’Adsav, celle d’une auberge pour l’extrême-droite la plus sale en Bretagne et n’ayant aucun projet d’évolution institutionnelle pour ce pays.

La bonne surprise du jour consistera en la mobilisation initiée par le collectif antifasciste de Kemper qui rassembla plus de 800 personnes de tout ages et de tout horizons qui face au laxisme des autorités françaises vis-à-vis des ratonneurs d’Adsav souhaitaient réaffirmer leur refus de laisser la rue bretonne aux racistes.

Ce même jour suite au succès de la manifestation antifasciste les troupes d’Adsav se vengèrent en poursuivant des jeunes dans le rues de la ville au cri de “La France aux Français !” et en saccageant un pub du centre-ville ayant servi des consommations aux antifas, ou en dégradant des véhicules appartenant à des manifestants antiracistes.

Ces faits surviennent après de nombreux autres actes de violences attribués à des militants de la même mouvance ces deniers mois en Cornouaille. Ils ont bénéficié d’une couverture médiatique sans complaisance cette fois qui ne servira sans doute pas le parti de Ronan Le Gall pour se présenter sous un jour normalisé et respectable au grand public.

A Saint-Brieuc le 05/02 Résistance Républicaine à l’initiative d’un ancien candidat FN souhaitait donner un écho local à la journée d’action européenne de PEGIDA (mouvement islamophobe et anti-immigration Allemand). La préfecture du département a finit par prendre un arrêté interdisant ce rassemblement. Les exactions répétées des rassemblements précédents ont sans doute pesé lourd dans la balance. Pas sur qu’Adsav ou d’autres puissent continuer à défiler impunément tant ils semblent incapables d’encadrer leur base. A Saint-Brieuc le bilan est simple : au mieux 25 personnes de la mouvance RR et Manif pour Tous et prés de 300 antifascistes réunis à l’appel d’un collectif antifa local en formation du Comité de vigilance antifasciste 22, du syndicat Solidaires, soutenu par le NPA et la Gauche Indépendantiste et une association d’immigrés Kurdes et Turcs. Un petit défilé aura lieu en ville, très encadré par la gendarmerie et la police, bravant symboliquement l’interdiction de manifester du préfet.

A Saint-Brieuc comme à Pontivy et à Kemper c’est bien une génération spontanée de militants jeunes ou moins jeunes qui tentent de monter des collectifs antifascistes autonomes tant les orgas de la gauche traditionnelle (à de rares exceptions prés) semblent obéir aux injonctions de l’état d’urgence et préfèrent les réunions et les discours interminables aux actions de rue.

Des collectifs qui se réapproprient l’identité bretonne, sa langue, ses symboles pour ne rien laisser à l’extrême-droite qui se drape dans les couleurs locales.

Nous souhaitons que malgré les différences de cultures politiques et sans négliger les actions de rue dans l’urgence, l’ensemble de ces forces convergent dans un coordination antifasciste bretonne dont les contours et le fonctionnement sont à définir et surtout se retrouvent dans la rue dans le cadre d’un rassemblement populaire et familiale et massif pour réaffirmer notre désir de défendre le droit d’asile en Bretagne, pour réaffirmer notre refus de l’utilisation de l’identité bretonne pour ostraciser les nouveaux arrivants qui fuient les guerres impérialistes et pour contester la prolongation de l’état d’urgence.

Des militants de la Gauche Indépendantiste.

Kemper , antifa , féministes et bretonnes !
Kemper : antifas, féministes et bretonnes !

Kouviet eo ar brasañ niver da gemer perzh er vanifestadeg bet roet lañs dezhi gant strollad enepfaskour Kemper a-benn taliñ ouzh un tolpadeg a-enep an divroidi aozet gant faskourien Adsav d’ar sadorn 23 a viz Genver er memes kumun.

Evel dizalc’hourien, gwregelourezed ha stourmerien kontrol d’ar c’hevala e fell deomp e tigorje ar vanif evit ur vro digor ha kengret ur c’helc’hiad stourm ledan ha poblek a-benn lakaat un termen d’an digastiz frank a seblant roet d’ar strollad-se ha d’ar strolladoù faskour all e breizh na baouezont ket da aozañ tolpadegoù ha da skignañ kemmenadennoù a gasoni. Un digastiz a c’heller kenveriañ gant ar gwask zo lakaet war chouk stourmerien Kernitron al Lann, aozerien manif antifa Pondi d’an 19 a viz Kerzu, pe c’hoazh anarkourien Roazhon asinet er gêr.

Arabat eo lezel an dud-se , hag a zo hep raktres ebet evit Breizh, da adperc’hennañ arouezioù hon identelezh, bezomp niverus disadorn e Kemper.

Laouen e vefomp o kemer perzh en un intrudu heñvel d’ar 6 a viz C’hwevrer e Sant Brieg , ul lec’h hag un deiziad all dibabet gant strolladoù faskour all evit dibuniñ enep d’an divroidi ha skignañ o fropaganda islamgas.

Breizh o Stourm

Diwar atizh DIWAN BREIZH ez eo an tu all da gant den a oa deuet betek rektordi Roazhon hiziv (04 a viz Meurzh )  evit goulenn ma vo dalc’het pevar fost kelenner-skol paeiet gant an deskadurezh-stad e Lannuon, Kemperle, An Oriant ha Lesneven hag evit ma vo krouet tri all e Kemper, Brest ha Roazhon.

E miz Kerzu pa oa deuet Manuel Valls e Raozhon e oa bet gouvezet e vije kevratet gant ar stad ar skolioù Diwan goude 18 miz da heul o digoradur pa oa ezhomm 5 bloaz betek bremañ.

Ur skol dindan kevrat a vez paeiet gopr he skolaerien gant an deskadurezh-stad.

An azgoulenn-se a oa bet douget gant kerent ha labourerien Diwan abaoe un nebeud bloavezhioù.

Da heul avat e oa bet klevet neuze e vije pevar fost skolaer nebeutoc’h e touesk ar re arc’hantaouet gant ar stad ha nac’het eta digeriñ an tri all evit distro skol 2015.

Diaes eo kompren e c’heller reiñ an doare da zDiwan da arboellañ arc’hant deus un tu en ur c’hevrata ar skolioù goude 18 miz ha lakaat ar rouedad da zispign nerzh ha gwenneien en ur dennañ postoù labour paeiet gant ar stad deus an tu all.

Evit sachañ evezh ar rektor hag e servijoù war an dislavar-mañ e oa deuet tud eus un toullad skolioù (Kemper, Lannuon, Roazhon , Naoned, Felger, Lesneven….) d’ober un tamm trouz war porzh ar rektordi gant un dornad krouadurioù.

Prezidant ha bez-prezidantez Diwan ( Serj Gueguo ha Stefanie Stoll ) a zo bet degemeret gant ar rektor a-gevret gant Anna-Vari Chapalain ( renerez ar rouedad) ha dileuridi SLB ha CFDT ar gelennerien.

Diskleriet o doa da heul o emgav o doa goulennet gant ar rektor reiñ da c’houzout da vaodiernezh an deskadurezh petore azgoulennoù a oa gant ar skolioù brezhonek dre soubidigezh evit mont didrabas en tu all d’ar c’hresk a 4% raktreset.

Ha ma oa deuet un dornadig dilennidi evel Lena Louarn gant ar vanifesterien e oa anat d’an holl n’eo ket sur tamm ebet e vo trawalc’h kement-se evit bezañ klevet gant pennoù bras Pariz….Marteze a-walc’h e vo ret da zDiwan mont pelloc’h war hent ar stourm er sizhunvezhioù da zont.

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Le vendredi 3 avril le collectif féministe Gast Kemper en partenariat avec le Sterenn à Trégunc vous propose un festival féministe sur les questions du plaisir et des sexualités.


2 temps forts vendredi et samedi soir, avec les conférences gesticulées :


“Qu’est-ce qu’un homme, qu’est ce qu’une femme, histoire du sexisme”


“Le Clito, un petit nom qui en dit long”


Et le samedi et le dimanche, poursuivons notre découverte de notre sexualité, en papillonnant entre ateliers mixtes ou non-mixtes, coin bibliothèque, saynettes, films et émission radio, en sirotant un verre au bar ou un thé dans un fauteuil…

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Mais dés le 11 mars vous pourrez avoir un avant goût du rendez-vous d’avril en vous rendant au café Ruz Botoù à Kemper/Quimper pour intégrer  ou soutenir si vous le souhaitez l’équipe du festival “Clitorik” lors d’une rencontre piknik suivie d’une projection.

Gast est un collectif féministe, ouvert aux hommes, mettant en avant la langue bretonne dans ses pratiques revendicatives.

Plus d’infos sur la page FB de Clitorik !

Dre ar bed holl ne zihan ket morioù a dud da ziskenn er straedoù evit ma paouezo stad Israel da vonbezenniñ poblañs Gaza.

E Breizh evel e kalz a vroioù all ez eus bet aozet manifestadegoù liesseurt en deizioù tremenet evit embann kengred ar vretoned gant pobl Palestina en he stourm a zieubidigezh vroadel.

Kement mañ zo bet gwir e Kemper, Brest, Naoned, Roazhon, Sant Maloù…

Manifestadegoù all a vo dalc’het ar sizhun mañ , galvet oc’h da vont niverus gant ho pannieloù !

E Roazhon d’ar merc’her 16 a viz Gouere da 6e noz dirak an ti-kêr.

E Gwened  d’ar merc’her 16  da 7e noz ha d’ar sadorn 19 a viz Gouere  da 3e goude merenn war ar porzh mor.

 E Montroulez d’ar merc’her 16 a viz Gouere dirak an ti-kêr da 6e noz.

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Beaucoup s’étaient étonnés de la promptitude de la CGT et d’autres syndicats à enfin constituer l’unité syndicale face à la vague de licenciements dans l’agro-alimentaire afin d’appeler à manifester à Karaez/Carhaix le 02 novembre dernier plutôt qu’a Kemper/Quimper. En effet en quelques jours (en quelques heures ?) un appel à manifester constitué sur la base de “Tout sauf Troadec et les bonnets rouges” invitait les syndiqués CGT du Finistère à se rendre à Carhaix, idem pour la CFTC, Solidaires, la FSU….

Beaucoup s’interrogeaient sur la réelle consultation des adhérents et des sections dans ces syndicats.

Pour notre part en tant qu’organisation de Gauche Indépendantiste nous ne regrettons pas d’avoir été manifester pour “Vivre travailler et décider en Bretagne” à Kemper et d’y avoir porté la contradiction. Nous y avons vu un vaste mouvement de grogne populaire, traversé de contradictions et d’intérêts parfois divergents mais c’est là qu’étaient les masses populaires. Parmi elles nombre de syndiqués FO, CGT, FSU qui n’avaient pas suivi les ordres pour aller manifester à Karaez ou finalement seulement 1000 à 1500 personnes se sont retrouvées.

Les militants du NPA, du Syndicat des Travailleurs de Bretagne, de Attac, des Alternatifs étaient aussi à Kemper sur des bases anticapitalistes. Nos banderoles, tracts et drapeaux rouges mêlés au Gwenn-ha-du comme les leurs et ceux de l’UDB reçurent un accueil positif des manifestants. Que les “antifascistes” qui ont manifesté à Karaez/Carhaix y réfléchissent et nous disent si c’est caractéristique d’une manif de droite, et d’extrême-droite de laisser défiler des centaines de militants anticapitalistes avec drapeaux rouges et banderoles anti-licenciements déployés ?

Nous publions ci-dessous un texte interne à la CGT Finistère, un coup de gueule sous forme de lettre ouverte émanant d’une section syndicale de la construction navale à Brest (entreprise DAMEN). Il éclaire sur la démocratie interne à la CGT et met en exergue que notre ligne était juste et partagée par de nombreux travailleurs. Nous publierons volontiers tout témoignage sur la façon dont Solidaires s’est retrouvé signataire de la manif de Carhaix, aucun syndiqué contacté n’a été en mesure de nous éclairer.

La rédaction de Bretagne-info

CGT_Bretagne

Lettre ouverte au secrétaire CGT régional de Bretagne et à la secrétaire CGT générale départementale du Finistère.
        
        Brest le 04 novembre 2013.
        
        Mr le secrétaire général de Bretagne, Thierry Gourlay.

        Aujourd’hui, le syndicat CGT de Damen Brest vous lance un coup de gueule, qui ressemble beaucoup à un cri d’alerte, suite au communiqué pour l’appelle a manifester son mécontentement à Carhaix le 2 novembre.
        Tout d’abord, sachez que votre manifestation pour nous et nos syndiqués est une grande mascarade et que bien sûr personne ne s’est déplacé à celle-ci. Il nous a paru plus que lamentable d’apprendre l’existence de ce rassemblement sur Carhaix par voie de presse avant toute forme de communication interne à la Cgt. L’opinion et la voie de vos syndicats et syndiqués ne vous intéresse-t-elle plus ? Somme-nous juste là pour financer votre grande confédération ? Mais ce n’était pas le pire, votre communiqué arrivant avec 2 jours de retards et de surcroit un vendredi février à 22h30 et daté du même jour, soit le 1er novembre, quelques heures avant la manifestation. Devons-nous passer la nuit à prévenir tout le monde de vos intentions ?
        Sachez que votre contre-manifestation est très mal venue et mal comprise. Il est bien bas de votre part de créer une manifestation pour l’emploi en marge d’une autre manifestation pour l’emploi et de surcroit dans la ville Carhaix, ville de l’organisateur de celle de quimper. Faites-vous de la politique ou du syndicalisme, ou alors faites-vous le jeu de certains élus politiques.
        Vous avez le droit de ne pas vouloir manifester auprès de la FNSEA et du MEDEFF, mais vous n’aviez pas le droit de séparer les manifestants pour qui le choix du lieu a été très dur, quitte à ne pas se déplacer du tout. Pour la CGT Damen, vous n’aviez pas le droit non plus de manifester auprès du front de gauche qui se permet de traiter le peuple breton de nigaud, esclave,ect, ni auprès des verts qui défendent un projet ECOTAXE sans en connaitre les termes du contrat qui parait bien juteux pour le grand patronat. Une manif pour l’emploi un autre weekend aurait été mieux perçue et aurait permis de maintenir une pression constante sur le gouvernement.
        N’avez-vous toujours pas compris qu’une force unitaire est bien plus efficace que la division. Diviser pour mieux régner n’est-elle pas ce que l’on combat en temps normal.
        OUI, VOUS AURIEZ DE L’ETRE À QUIMPER AVEC TOUT LE MONDE.
        OUI ? VOUS AURIEZ DU FAIRE PASSER VOTRE MESSAGE A LA FOULE.
        OUI ? VOUS AURIEZ DU PRENDRE LA TETE DU COTEGE POUR COUPER L’HERBBE SOUS LE PIED DU MEDEFF ET DE CES MEGALOS DE LA FNSEA.
        Mais non vous avez préféré jouer petit et tout seul avec des groupes qui ont beaucoup à se reprocher ses derniers temps.
        Les conséquences de vos actes sont graves et ont des répercussions directes sur la CGT et sur les syndicats. Aujourd’hui dans mon entreprise, mais pas que, nous avons du gérer ce qui pouvait se passer de pire, une entreprise ou vous avez un taux de syndicalisation les plus haut du Finistère, une entreprise qui a fait la fierté de la CGT pendant le conflit de la réparation navale civile de 2012. Fierté de la CGT, mais pas la vôtre qui complotait derrière notre dos avec la CFE-CGC et votre confédération Cgt manipulée. Aujourd’hui, il a fallu convaincre les élus CGT de l’entreprise de conserver leur carte d’adhésion et bon nombre de syndiqués aussi. Le syndicat dans la boite est la première priorité pour faire face au patronat. Mais si vous casser tout en divisant les gens, vous serez bientôt bien seul car nous n’hésiterons pas à chercher une nouvelle étiquette.
        En passant, je transmets des questions qui viennent de la Cgt d’en bas, celle que vous ne consultez plus. Qu’as fait la Cgt contre l’ANI ? RIEN. Qu’as fait la Cgt contre les retraites ? RIEN. ET TOUJOURS RIEN DEPUIS UN AN. Et aujourd’hui vous nous dites de faire cavalier seul, alors que toute la Bretagne appelle au rassemblement…. Nous restons sans voix devant votre incompétence. Nous étions heureux de vous voir quitter l’UD du Finistère et non étions inquiet de vous voir arriver à la région et nous avions raison.
        FINI LA LANGUE DE BOIS !!!!! Vous êtes trop éloigné du monde de l’entreprise et de l’industrie, votre poste de permanent qui se succède d’année en année vous transforme plus en politique qu’en syndicaliste. Et doit on le rappeler La CGT est un syndicat à la base d’employé et d’ouvrier.
        Regardez, nous sommes la risée des réseaux sociaux et de la presse comme par exemple http://www.rue89.com/2013/11/04/front-gauche-eelv-etes-coupes-bretagne-247208 .
        Nous attendons de vous, un ressaisissement rapide et un moyen de réintégrer la lutte unitaire car sans quoi, à terme la Cgt ne sera plus représentatif sur le territoire bretons comme l’ai actuellement le front de gauche, grâce au propos de Mr Mélenchon sur un article paru dans le point et toujours présent sur son blog.
        Ce courrier sera distribué par mail mais aussi sur les réseaux sociaux, pour que les gens sachent que tous a la Cgt ne pensent pas comme vous.

Section CGT DAMEN

Des milliers de personnes ont convergés vers la ZAD aujourd’hui au lendemain d’une nuit d’affrontements violents sur zone malgré les déclarations prétendument apaisantes du gouvernement et les violences de la manif de Nantes qui a rassemblé prés de 10 000 personnes malgré la violence de la police française.

Notons aussi le trés bon bilan des mobilisations dans des villes comme Brest ( 300 vendredi et 100 samedi), 150 à Guingamp samedi, 160 à Pontivy samedi, 50 à Douarnenez, 80 a Chateaubriant, 250 à Rennes vendredi, 60 a Morlaix samedi, 60 à Kemper vendredi, 100 à Saint Brieuc  vendredi, 50 à Concarneau vendredi, sans compter les moibilisations trés nombreuses hors Bretagne.

Elles révèlent un vrai potentiel de mobilisation pour faire comprendre aux élus locaux qui continuent à soutenir le projet et insulter les occupants en légitimant la violence des forces d’occupation qu’ils doivent faire marche arrière.

Par ailleurs aujourd’hui à Nantes prés de 70 élus  du département ( sans étiquettes, EELV, PG , MODEM et autres…) étaient devant la préfecture (certains en s’enchainant) pour demander le départ des forces militaires de la ZAD et protester contre les violences policières de la veille.Parmi eux citons Primael Petit adhérent de Breizhistance et élu pour Saint Herblain à Gauche Toute et Katell Andromaque , porte-parole de la Gauche Anticapitaliste 44 et élue Rezé à Gauche Toute.

Le préfet à reçu une délégation de cinq élus.

Sur la ZAD à la Chataigneraie les tracteurs ont convergé pour protéger les cabanes reconstruites. La vigilance et la détermination sont toujours du coté des opposants.

L’ACIPA et la ZAD donnent rendez vous dés demain à 5h du matin. Nous verrons si le ton change.

Le 25 11 2012

Les 15 décembre 2011,3 février et 19 mars 2012, Breizhistance-IS s’associait à l’appel « Démocratie pour la Bretagne » initié par 44=Breizh et proposant un rassemblement devant le conseil régional de Bretagne administrative à Rennes et le conseil général de Loire-Atlantique à Nantes. Les jeunes écologistes et l’UDB jeunes, rejoint plus tard par le Parti Breton, ont répondu à cet appel.

redddddiiae

_Les éléments de cette démarche sont de toute première importance car ils promeuvent un processus démocratique institutionnel pouvant permettre aux bretonnes et aux bretons de construire leur droit à l’autodétermination.

_Le 29 mars prochain, le conseil régional de Bretagne administrative se réunira en session plénière afin d’examiner le plan d’actualisation de la politique linguistique. L’étude de ce dernier a été reporté à pas moins de 4 reprises depuis juin 2011 ! La politique linguistique ne se serait-elle pas considérée comme purement accessoire par le conseil régional ?

_Nous avons besoin d’un cadre de revendications de base afin d’obliger les élus locaux à faire des choses concrètes en Bretagne sans attendre quoique ce soit des dirigeants de Paris ni des promesses électorales. Ces revendications ont été exposées dans appel co-signé par Ai’ta, UDB, SLB et … Kevre Breizh en 2011.

_Ces revendications et propositions permettent à la langue bretonne d’avoir la place qui lui est due dans la vie quotidienne. Elles ne prendront toute leur efficacité que dans un cadre institutionnel permettant au peuple breton des prises de décisions souveraines

_ Nous réaffirmons ainsi que seule une collectivité unique, réunissant l’ensemble des départements (dont la Loire-Atantlique) et la région, dotée de compétences législatives, comme il existe partout en Europe et s’engageant sur la voie d’un vrai parlement local permettra de pallier à ces insuffisances. Seul un parlement breton pourra doter la langue bretonne des outils nécessaires à sa survie et son développement et comblera le manque de démocratie locale dans l’ensemble du territoire breton.

Nous appellons le plus grand nombre à un rassemblement devant le conseil régional, à l’Hôtel de Courcy, rue Martenot à Rennes, le jeudi 29 mars à 18h.

Brezhoneg, yezh vroadel, yezh ofisiel !

Démocratie pour la Bretagne !

Breizhistance appelle à participer à la manifestation pour la langue bretonne qui aura lieu à Kemper le 31 mars.

Nous sommes malgré tout déçus par le point de vue des organisateurs qui souhaitent convier au débat politique matinal uniquement des représentants de partis politiques représentés au Sénat et à l’Assemblée à Paris.

Les bretons défendant la langue bretonne n’ont jamais attendu quoique ce soit de la part des dirigeants pour faire progresser les choses sur le terrain et créer les outils afin d’assurer un avenir à notre langue nationale.

Nous aimerions comprendre pour quel motif les membres de l’UMP pourraient prendre la parole et défiler tranquillement à Kemper le 31 mars alors que Nicolas Sarkozy a clairement fait savoir qu’il ne souhaitait ni donner quelconque place que ce soit à la langue bretonne et aux autres langues dites “minoritaires” dans la vie publique ni signer la charte européenne des langues dites “minoritaires”.

Nous ne devons pas attendre grand-chose des membres du PS ou autres qui ne veulent défendre la langue bretonne que lorsqu’il y a des élections françaises en promettant une fois de plus que sera étudié la construction d’ un projet de loi pour les langues dites “minoritaires” une fois qu’ils seront élus.

Nous avons besoin d’un cadre de revendications de base afin d’obliger les élus locaux à  faire des choses concrètes en Bretagne sans attendre quoique ce soit des dirigeants de Paris.

Nous ne comprenons pas pourquoi les organisateurs n’ affirment pas clairement que la langue bretonne doit être officialisée en Bretagne. Nous ne comprenons pas non plus que ne soit mentionnée dans l’appel à manifester la nécessité d’un pouvoir politique fort en Bretagne afin que nos lois soient édifiées par le biais d’un Parlement.

Nous donnons rendez-vous à tous devant l’Hôtel de la Région Bretagne le 29/03 à 17H30 lors du vote sur la politique linguistique de la Région afin de réaffirmer notre volonté d’avoir un Parlement en Bretagne doté de tels pouvoirs.

Nous appelons tous nos adhérents et sympathisants à participer à la manifestation de Kemper le 31/03 en défilant derrière la banderole demandant l’officialisation de la langue bretonne de Brest à Clisson. Cette dernière se trouvera sur la place de la Résistance à Kemper.

Nous avons bien entendu l’appel de la jeunesse voulant voir de rapides progrès sur la place de la langue bretonne dans la vie publique. Nous demandons de les soutenir à Kemper et après.

Cf : Galv Ait’a

Il y a besoin d’un nouveau souffle sur le terrain, ici au pays, la lutte doit être menée quotidiennement avec des buts précis que l’on peut atteindre,basés sur le droit à l’ autodétermination comme il avait été exposé dans l’appel que nous avions co-signé avec Ai’ta, UDB, SLB et ….Kevre Breizh en 2011. http://issuu.com/breizhistance/docs/trakt_oberenn

Il a été trop rapidement oublié à notre avis.

Langue bretonne,langue nationale ! Langue bretonne, langue officielle !

Democratie pour la Bretagne !

Breizhistance IS.

Brezhoneg Yezh Ofisiel ! Galv evit manifestadeg Kemper d’an 31/03

Gervel a ra Breizhistance da gemer perzh er vanifestadeg evit ar brezhoneg a vo dalc’het e Kemper d’an 31 a viz Meurzh .

Met dipitet omp avat gant sav-poent an aozerien a fell dezhe pediñ en o dael a vo diouzh ar beure ar strolladoù o dez dilennidi e parlamant ha sened Pariz hepken.

Ar vretoned kar-o-yezh n’o deus ket gortozet biskoazh mann ebet a-berzh pennoù bras evit kas an traoù war-raok war an dachenn ha krouiñ ar binviji ret evit reiñ un dazont d’hor yezh vroadel.

Ha karout a rafemp kompren evit peseurt abeg e c’hellfe izili an UMP kemer ar gaoz pe dibuniñ didrabas e Kemper d’an 31 a viz Meurzh p’en deus embannet splann Nicolas Sarkozy ne felle ket dezhañ rein e mod ebet plas d’ar brezhoneg ha d’ar yezhoù all er vuhez foran ha kement mañ en ur nac’h e vije kadarnaet gant ar frans karta europa ar yezhoù ?

Na c’hortozomp ket kalz a draoù digant politikourien ar PS pe re all n’o deus c’hoant da zifenn ar brezhoneg nemet pa vez dilennadegoù gall en ur brometiñ ur wezh ouzhpenn e vo studiet an doare da sevel ur raktres lezenn nevez evit ar yezhoù

Ezhomm zo reiñ ur framm a azgoulennoù diazez evit rediañ an dilennidi lec’hel d’ober traoù fetis amañ hep gortoz mann ebet digant hon mistri e Pariz.

Ne gomprenomp ket abalamour da betra ne embanner ket sklaer e rank ar brezhoneg bezañ lakaet da yezh ofisiel e Breizh ha n’omp ket evit intentiñ ne vije anv er galv da vanifestiñ eus an ezhomm bras a c’halloud politikel kreñv amañ e Breizh a-benn sevel hol lezennoù hon unan dre hanterouriezh ur parlamant.

Setu ma roomp emgav d’an holl dirak rannvro Breizh d’an 29/03 da 5e30 pa vo votet politikerezh yezh ar rannvro evit adembann hon eus c’hoant da gaout ur parlamant e Breizh gant seurt galloudoù.

Goulenn a reomp gant hon izili ha mignoned kemer perzh er vanifestadeg e Kemper d’an 31/03 en ur zibuniñ a-drek d’ar giton evit ma vo ofisiel ar brezhoneg eus Brest betek Klison.

Klevet hon eus mat galv an dud yaouank o deus c’hoant da welet a-raokadennoù fonnus ha prim diwar-benn plas ar brezhoneg er vuhez foran, setu ma c’houlennomp da harpañ anezhe e Kemper ha goude.

Ezhomm zo ul lañs nevez war an dachenn amañ er vro, ar stourm a dle bezañ kaset war ar pemdez gant palioù resis a c’heller tizhout ha diazezet war ar gwir d’en em dermeniñ e-giz ma oa bet displeget er galv hor boa kensinet gant Ai’ta, UDB, SLB ha….Kevre Breizh e 2011.

Ankouaet eo bet re fonnus d’hor menno.

Galv Ai’ta evit ar vanif :

Koñkour meur