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Dalc’hmat e vez teir pe peder maouez kondaonet evit bezañ bet oberiant e ETA e toull-bac’h ar merc’hed e Roazhon.

Er mizioù kent e oa bet aozet da skouer meur a vanif pe tolpadeg dirak mogerioù ar prizon se evit goulenn groñs ma vije dieubet Lorentxa Guimon.

Abaoe miz Mae ez eo en em gavet ur gatalanez etre mogerioù an toull-bac’h zo a dreñv da di-gar Roazhon, Marina Bernado Bonada hec’h anv ( 40 vloaz eo ).

Evel ha c’henvroadez Dolores Lòpez Resina ( Lola ) bac’het en hevelep lec’h e oa bet oberiant e unan eus komandoioù katalan an aozadur dizalc’hour euskarat e derou ar bloavezhioù 2000 e Barcelona.

Meur a gatalan zo bet bac’het evit an hevelep abegoù en daou du deus ar pireneoù. Ne vir outo da embann ez int a orin eus ar broioù Katalan ha perzh deus ar stourm a zieubidigezh vroadel en o bro orin ivez.

Un aozadur anvet « Rescat » zo bet savet a-ratozh evit harpañ anezho er broioù Katalan, lidañ a ra ar bloaz e 15 vloaz a labour evit difenn gwirioù an etrebroadelourezed katalan bet toullbac’het evit o stourm kengred gant an Euskariz. Perzh eo Rescat deus kernurzhierezh an tu-kleiz dizalc’hour er broioù Katalan. An div blac’h a chom perzh eus EPPK ( strollad prizonidi bolitikel Euskal Herria ).

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Bep bloaz da vare gouel broadel Katalonia  e miz Gwengolo e vez aozet ur vanifestadeg evit goulenn groñs e vefent distaoliet tro-dro d’ar ger-stur “Amnistia” e straedoù Barcelona ha meur a goulzad kengred gante a vez kaset a-benn e pep korn ar broioù katalan abaoe 15 vloaz.

Ma fell deoc’h skrivañ da VMarina :Marina Bernado Bonada  – 8613 ha da zDolores Lòpez Resina Lola (7 075) CP. 18 bis, rue de Châtillon B.P. 3107 35031 Roazhon Cedex

Peu de médias donnent la parole à ceux et celles qui osent élever leurs voix contre la répression qui s’abat sur ceux qui contestent la loi travail.

Nous reproduisons ici l’appel à la Solidarité avec Hugo Melchior militant investit à Rennes 2 et interdit de manifestation et de centre ville pendant 15 jours. Il a entamé une action légale de contestation et lance un appel à la solidarité financière.
Le cout des frais d’avocat se montera à 800 €.

Si certains ami-e-s, camarades veulent m’aider à payer cette somme, vous pouvez verser ce que vous voulez par chèque à l’ordre de ENSEMBLE ILLE ET VILAINE, à l’adresse du camarade, Yves Juin, qui réceptionne l’argent :  Yves Juin, 32 rue Louis Mazan 35 000 Roazhon.

Vous pouvez lire un entrevue avec Hugo sur le site de contre info du CCR du NPA.

Au moment où nous écrivons ces lignes des camarades de AL et Solidaires Étudiants de cette même ville sont toujours en garde à vue pour avoir envisagé de détériorer des bornes de validation des tickets dans six stations de métro avec de la mousse “expansive”. Le parquet semble vouloir monter en épingle une “affaire” qui risque bien de se dégonfler en retenant la qualification d’ “association de malfaiteurs” (!), jamais retenue contre des manifestants pacifiques de la FNSEA… A cette occasion le local de Solidaires 35 a été perquisitionné. Lire ici le communiqué de Alternative Libertaire et ici celui de l’Union Syndicale Solidaires.

A Nantes on dénombre au moins 66 arrestations hier lors de manif interdite.

Nous affirmons notre pleine entière solidarité avec l’ensemble de ces camarades et invitons à participer aux initiatives de solidarité dans la rue ou financière.

La Gauche Indépendantiste Bretonne (Breizh O Stourm/ Bretagne en Luttes).

Enfin nous reproduisons intégralement ici l’appel à la mise en liberté du jeune manifestant accusé de tentative de meurtre à Nantes diffusé par le journal anticarcéral l’Envolée.

Ce samedi 14 mai, un lycéen nantais de 18 ans a été mis en examen pour « tentative d’homicide sur personne dépositaire de l’autorité publique » après une garde à vue de 48 heures. Il a été immédiatement incarcéré sur un mandat de dépôt criminel. Cette inculpation est très grave, sans aucune comparaison possible avec les habituels « outrages et rébellion » et autres « violences sur personne dépositaire de l’autorité publique » qui s’accumulent dans les audiences de comparutions immédiates. Elle inscrit les faits dans une procédure « criminelle » qui prévoit des peines pouvant aller jusqu’à la réclusion à perpétuité…

Les faits ont été relatés par la presse nationale comme étant d’une « violence » extrême. En fait, un commandant de police qui n’avait pas réussi à reculer assez vite après une charge de ses CRS a été pris à partie par un groupe de manifestants qui lui ont asséné plusieurs coups. Le gradé a visiblement eu le nez fracturé et on a dû lui faire une quinzaine de points de suture. Par ailleurs, il n’y a pas d’éléments précis qui peuvent attester de la participation du jeune inculpé aux coups donnés. Tout reste donc très flou.

Ce qui ne l’est pas en revanche, c’est l’acharnement violent et méthodique déployé par les forces de police contre les manifestants depuis le début du mouvement. Passages à tabac (particulièrement à Nantes et à Rennes), coups de matraque, utilisation de grenades « désencerclantes » qui blessent en cas d’impacts directs, tirs avec leurs nouveaux flash-ball à hauteur de visage pour crever des yeux, etc. Tout le monde aura déjà pu apprécier l’efficacité de ces armes sur des images et vidéos diffusées sur Internet.

On entend répéter en boucle, « un commandant de police blessé »… Si cela vaut plusieurs années de prison, comment « comptabiliser » les multiples yeux crevés par des flash-ball, comment « évaluer » la mort de Rémi Fraisse et celle d’Amine Bentousi abattus froidement par la police, pour ne citer que deux exemples… Et dans ces cas où ce ne sont pas des « tentatives » mais bien des « homicides », la justice prononce toujours des non-lieux ou des acquittements. Et là, l’Etat ne prend même plus la peine de faire croire que la justice en est une.

Oui, une bonne partie de la jeunesse n’a pas envie de se soumettre au pouvoir (qu’il soit financier, policier, militaire, politique) dont la règle est de voler les vies du plus grand nombre au profit de quelques-uns. Elle crie haut et fort depuis quelques semaines ce refus d’un monde d’exploitation. Et ils sont gentils ces manifestants de ne pas répondre plus violemment à cette déferlante d’uniformes qui vise à décourager la majorité des participants au mouvement en cours et à faire déserter manifestations et occupations.

Nous exigeons la libération immédiate de ce jeune homme. De toutes façons, il y a peu de chance qu’il échappe à un procès, mais au moins qu’il l’attende dehors et non pas emprisonné comme tant d’autres le sont déjà ; nous savons combien les peines sont plus sévères pour les accusés qui comparaissent menottés que pour celles et ceux qui comparaissent libres. Et qu’il ne serve pas de cadeau de la justice à des syndicats de police bien contents de se voir « aimés » par leurs collègues en robe noire. Qu’il ne serve pas non plus d’exemple repoussoir à une jeunesse qui refuse le monde qu’on lui prépare.

Il est partie prenante du mouvement actuel au même titre que tous les manifestants et grévistes qui y ont pris part. On ne le laissera pas tomber.

L’Envolée

Pour informations complémentaires dans les jours à venir : lenvolee.net

Pour nous écrire : contact@lenvolee.net

La maison du peuple est occupée depuis le 1er mai par les composantes du mouvement contre la loi travail (AG interpro, intermittents et précaires, étudiants, Nuit Debout, syndicats SUD, CNT, SLB, etc.) et avec le soutien des centrales CGT et FO.
Suite à la manifestation d’aujourd’hui mardi 10 mai, la mairie de Rennes est revenue sur son engagement de la veille à renouveler la convention d’occupation.
Elle s’est pour cela servi du prétexte fallacieux du déroulé de la manifestation. Celle-ci est passée dans l’hyper-centre et a procédé à un blocage économique en investissant les voies SNCF. Par la suite, la tentative d’envahir le siège du Crédit Mutuel de Bretagne s’est soldée par une violente intervention policière. Une fois encore, plusieurs de nos camarades ont été blessés et interpellés.

La stratégie de la municipalité est évidente : il s’agit de casser le mouvement par tous les moyens possibles. Nous ne nous laisserons pas intimider. La lutte doit s’intensifier au moment où le gouvernement utilise le 49.3 pour passer en force.
Pour nous, il est clair et évident que la maison du peuple doit rester au peuple (avec ou sans convention), et que ce n’est pas ceux qui cherchent à nous imposer la loi travail qui nous dicteront où et quand manifester.
Nous ne nous laisserons pas expulser sans résistance. En cas d’intervention policière contre le lieux, rendez-vous le soir même à 20h au plus près de la place Saint-Anne, et blocage de la ville dès le lendemain.

L’assemblée générale interprofessionnelle, réunie à la maison du peuple occupée, le 10 mai 2016

Retrouvez les infos de la MPO sur Radio Croco la radio de la maison du peuple occupée. 100.3 sur le FM à Rennes ou sur http://mixlr.com/radiocroco.

N’eo ket echu ar stourm ‘enep lezenn El Khomri (hag ‘enep ar bed ac’h a ‘sambles ganti !)

Un tamm mat a virvilh zo bet e kêr Roazhon er sizhun-mañ, e-keit ma oa rederien ha rederezed ar brezhoneg o sachañ o skasoù war-du Lokoal.

Abaoe disul kentañ a viz Mae eo ac’hubet sal ar Cité e kreiz-kêr Roazhon gant enebourien lezenn El Khomri. Un nebeud deizioù a-raok e oa bet aloubet Teatr Broadel Breizh (TNB) gant ur strollad tud, labourerien a-frapadoù anezhe peotramant c’hoazh tud dilabour pe tud gant labourioù diasur. Disul – da goulz devezh etrevroadel al labourerien hag al labourerezed – e oa deuet a-benn ar re se neuze, asambles gant un toullad mat a studierien, liseidi, dilabouridi, labourerien ar publik hag ar prevez (sindiket pe get), da vont d’ar sinema Gaumont ha da chom eno e-pad ur pennad. Stankañ an ekonomiezh eo pal al luskad abaoe un nebeud sizhunioù. Goude-se o deus tapet ar stourmerien aloubiñ sal ar Cité a-benn ober un emvod-meur ha dibab peseurt mod kenderc’hel gant ar stourm.

Hirie emaint o terc’hel an ti c’hoazh. Ranket o deus en em glevet gant an ti-kêr. Un emglev ac’hubiñ e-pad ur sizhunvezh a oa bet kinniget gant maerez Roazhon hag asantet gant ar stourmerien… a zo en soñj da chom pelloc’h evel-just !

Meur a dra zo bet kinniget gant « Ti ar Bobl », en o zouesk :

  • Klask stankañ an ekonomiezh mod pe vod, d’ar Meurzh 10 a viz Mae, evit ober al liamm gant labourerien ha labourerezed an SNCF a vo e diskrog-labour an devezh-se. Digwener 6 a viz Mae o doa kroget ar vanifesterien gant an hent-mañ o stankañ servij transport ar STAR (kirri-boutin Roazhon) e-pad div eurvezh diouzh ar beure.
  • Kemer perzh en devezhioù a-enep al lezenn Labour a vo aozet e Breizh hag e Bro-C’hall : d’ar Yaou 12 a viz Mae ha d’ar Meurzh 17 a viz mae.
  • Lakaat ar gaoz war an doareoù da dalañ ouzh feulster an archerien : d’ar Yaou 28 a viz Ebrel e oa bet diskaret lagad un den e Roazhon abalamour d’un tenn flachbol ha kantadoù a dud zo bet gloazet abaoe penn kentañ ar stourm. Ur vanifestadeg a-enep feulster ar polis a vo d’ar 14 a viz Mae.
  • Souten Grégoire a dremene e prosez dimerc’her e Roazhon. Hennezh zo bet dastumet gant ar fliked n’eus ket pell pa oa o vont kuit eus un emvod-kelaouiñ diwar-benn ar stourm a-enep an aerborzh. Abaoe daou vloaz e oa koachet er ZAD goude ma vije bet barnet ha kondaonet da 18 mizvezh toull (ha start 12 anezhe) da heul manif an 22 a viz C’hwevrer 2014 e Naoned. Soñj ho peus marteze e oa bet tri den o koll ul lagad da goulz ar vanifestadeg-se ha kantadoù a dud gloazet gant an archerien. Abaoe an deiz-se e kendalc’h an holl dud ac’h a d’ober ar stourm da vezañ gwasket dibaouez : peizanted, annezidi ar ZAD, stourmerien ha stourmerezed…

Ma c’hoarvezfe gant an archerien « karzhañ » Ti ar Bobl evit an abeg-mañ-abeg e vefe graet un dibunadeg da 8 eur noz e straedoù Roazhon ar memes devezh.

Ma pad ar stourm a-enep lezenn El Khomri e Roazhon eo ivez peogwir e faot d’an dud a gemer perzh ijinañ ur bed all, gant muioc’h a ingalded hag a frankiz. Ar pezh a c’hoarvez e Ti ar Bobl zo evite un doare da sevel darempredoù all etre an dud.

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https://vimeo.com/165154782 – Evit sellet ouzh kemennadenn Emvod-Meur Ti ar Bobl sinet gant : coordination des intermittents et précaires de Bretagne, studierien ha studierezed Roazhon 2, UL CNT, SLB (Sindikad Labourerien Breizh), Place à défendre, Solidaires Etudiant.e.s, Maison de la grève, SUD santé sociaux 35.

Le 28 avril, une manif de plus contre la loi travail… elle s’annonce massive et c’est tant mieux. Depuis quelques semaines on entend parler de « grève reconductible » et de « grève générale » et même certains syndicats en ont parlé.
Le phénomène « Nuit debout » a permis de faire durer le mouvement de contestation tout au long du moi d’avril. Et on peut souligner qu’il a trouvé de l’écho hors des grands centres urbains comme en témoignent les assemblées de Questembert, Chateaulin, Saint-Aubin du Cormier, Guingamp, … Mais soyons sérieux, si nous voulons gagner il va falloir parler à un moment des modes d’actions.
Organiser la grève générale au sein d’un prolétariat dispersé dans des centres de productions éloignés les uns des autres, sans une grande présence syndicale (quand il y en a) ne se décrète pas. Les affrontements avec la police où la gendarmerie sont légitimes dans le sens où nous défendons notre droit de manifester où bon nous semble dans les grandes villes que les préfets veulent nous interdire. Mais c’est beaucoup d’énergie dépensée que nous pourrions utiliser pour bloquer les flux.

Une journée de grève c’est fait pour bloquer l’économie, pas pour compter les calicots et les banderoles.

Donc oui, il va falloir s’organiser pour faire des piquets volants pour obliger les centres commerciaux à fermer, les grandes enseignes, les entrepôts, les 4 voies, les voies ferrées… Ce n’est que comme ça que l’on pourra commencer à parler de victoire, de sa possibilité. Ceux qui prétendent lutter contre la loi travail mais ne veulent pas envisager ce type d’actions doivent nous expliquer pourquoi nous devrions avoir un niveau de combativité inférieure à celle des productivistes pro agro-business de la FNSEA…
Notre rapport à la violence peut être différent, mais la désobéissance collective permettra à chacun de participer à ces blocages suivant ses convictions, ses capacités.

Le président de la CCI de Nantes a osé demander aux syndicats d’annuler la manif du 28 parce que les banques sont taguées ou symboliquement détériorées et que les grandes enseignes se plaignent d’une baisse de fréquentation. C’est comme ça que l’on va gagner, pas autrement.

Refusons la division entre « bons manifestants » et « méchants casseurs » : beaucoup de syndicats ont apporté leurs soutien aux manifestants déférés devant la « justice », d’autres appellent à manifester casqué pour se protéger de la violence de la police, tout cela va dans le bon sens.

Un nouveau préfet, Christophe Mirmand, vient d’arriver en Bretagne : il n’est pas élu et il a plus de pouvoir que les élus de notre ridicule conseil régional. Le précédent  (Patrick Strzoda) qui a minoré les violences policières contre les opposants à la loi travail a été promu au ministère de l’intérieur. Rappelons donc à son successeur qu’il n’est pas le bienvenu ici et inaugurons donc sa mission par une turbulente grève générale dés le lendemain du premier mai !

Bretagne en Luttes / Breizh o Stourm

Voici une liste non-exhaustive des mobilisations contre la loi Travail en Bretagne le 28 avril.

Loire-Atlantique/Liger-Atlantel

  • Nantes/Naoned : 10h30 — Esplanade des machines de l’île (départ de la Fac à 9h30)
  • Saint-Nazaire/Sant-Nazer : 10h30 — Place de l’Amérique Latine
  • Châteaubriant/Kastell-Brient : 10h30 — Place de la Mairie
  • Coueron/Koueron : 10h30 — Place de la Mairie
  • Ancenis/Ankiniz : 10h30 — Station Esso

Ille-Et-Vilaine/Il-ha-Gwilun

  • Rennes/Roazhon : 11h00 — Esplanade Charles de Gaulle
  • Redon : 11h00 — Sous-Préfecture
  • Saint-Malo/Sant-Malou : 11h00 — Devant la Médiathèque “La Grande Passerelle”
  • Fougères/Felger : 17h30 — Place Aristide Briant

Finistère/Penn-ar-Bed

  • Brest : 10h30 — Place de la république
  • Quimper/Kemper : 10h30 — Place de la Résistance
  • Carhaix/Karaez : 10h30 — Rassemblement devant les locaux de la CGT
  • Morlaix/Montroulez : 10h30 — Place de la Mairie
  • Quimperlé/Kemperle : 10h30 — Place Saint-Michel

Morbihan/Mor-Bihan

  • Lorient/An Oriant : 14h00 — 84 Boulevard Cosmao Dumanoir
  • Vannes/Gwened : 14h00 — La Rabine
  • Pontivy/Pondi : 14h00 — La Plaine
  • Lanester/Lannarstêr : 13h00 — Pont des Indes
  • Belle-île-en-Mer/Enez ar Gerveur : 14h00 — Le Port du Palais

Côtes d’Armor/Aodoù an Arvor

  • Saint-Brieuc/Sant-Brieg : 10h30 — Place de la Liberté
  • Guingamp/Gwengamp : 11h00 — Parvis de la Mairie
  • Dinan : 12h00 — Esplanade de la Résistance
  • Lannion/Lannuon : 11h00 — Place de Caerphily
  • Rostrenen/Rostrenn : 10h30 — Place du Champs de Foire