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Kanton Afrin perzh eus Rojava a oa meret gant ar melestradurezh emren bet lakaet e plas gant ar YPG/YPJ Kurd abaoe 2012. 360 kumun zo en takad ha ma ra ar gurded ar brasañ niver eus a boblañs e ranker kontañ ivez gant Arabed, Turkmened, Assyrianed ha Yezidied repuet aze. E kornog ar vro emañ Afrin dispartiet eus peurrest Rojava evel ma weler war ar gartenn (al lodenn c’hlas zo dindan beli Ankara hag an islamourien).

Kartenn Rojava tennet diwar www.kurdistan24.net

A-raok 2012 e oa ar vro dindan beli Damas, perzh eus stad Syria e oa neuze. D’an 21 a viz Geñver stad Turkia en deus kaset hec’h arme a-gevred gant lodennou eus “emsavidi” islamour (Al Qaida hag Al-Nosra) enebourien da c’halloud Damas. Fellout a ra da Erdogan gwanaat emrenerezh ar gurded er Rojava ha lakaat diaes war an dachenn vilourel ar PKK hag ar YPG/YPJ.

Ar wezh kentañ eo d’an arme Turk mont ken pell er Rojava gant ur sikour ken splann eus an islamourien ha diseblanted pe asant ar Stadoù-Unanet, Rusia ha Bro-c’hall.

Ar strolladou kurd armet YPG/YPJ o deus roet da c’houzout e talc’hfent penn d’o enebourien e Afrin evel m’o doa graet e Kobane. Peurrest an FDS (Nerzhioù Demokratel Syria) unvanet er stourm gante zo aet da dalbenn nevez Afrin.

Ar stourmerien etrebroadelour perzh eus ar BDE (Batailhon a Zieubidigezh Etrebroadel) o deus goulennet bezañ war an talbenn e Afrin ivez a-gevred gant ar volonterien etrebroadelour all. An holl strolladoù komunour emgouestlet er BDE (TIKKO/TKP-ML, MLKP, MKP…) o deus roet da c’houzout e vije enebet ouzh soudarded Erdogan e Afrin evel ma oa talet ouzh DAECH e Kobane. Un emgann pouezus meurbet e istor dieubidigezh Kurdistan eo.

Manifestadegoù a gengred gant Afrin zo bet hag a vo en deizioù e pep lec’h e Europa, evel e Breizh e Roazhon diwar atizh Keneildedoù Kurd Breizh da skouer hag ar gurded divroet, dindan ar ger stur “#AfrinIsNotAlone” .

Bez e c’heller ivez ober un donezon en linenn da harpañ ar stourmerien etrebroadelour zo war an talbenn, bretoned en o mesk.

https://www.youtube.com/watch?v=BmdVfBbCIG4

Beaucoup d’internationalistes sont allés combattre au Kurdistan contre DAESH. Certain-e-s dans les rangs des forces Kurdes (YPG/YPJ ), d’autres dans des structures internationalistes tel le Bataillon International de Libération. Le Secours Rouge a réalisé une interview du commandant de cette structure que nous publions. Ses analyses et réflexions sont riches d’enseignements sur l’expérience internationaliste sur place, au regard des derniers développements militaires. Par ailleurs la campagne de solidarité avec le Bataillon et les autres combattants internationalistes continue

Bretagne-info

Peux-tu te présenter et nous expliquer comment le commandement du Bataillon International de Libération est-il organisé ?

Je m’appelle Mahir Bakirciyan, je suis combattant du TKP/ML TIKKO et commandant du Bataillon International de Libération (BIL) Le mandat d’un.e commandant.e du BIL est de trois à quatre mois. À la fin de cette période, les quatre organisations constituantes du BIL (BÖG, TKP/ML TIKKO, MLKP et IRPGF) se réunissent et choisissent le.la nouveau/elle commandant.e. Nous utilisons une rotation afin qu’a chaque fois il/elle soit issu.e d’une organisation différente que le/la dernier.ère en place.

L’opération de Raqqa s’est terminée sur une victoire historique. De Manbij à Raqqa quelle en est son importance historique, stratégique et    tactique ? Qu’en est-il du point de vue de la construction de la révolution au Rojava ?

La libération de Raqqa est le fruit d’un long et difficile combat contre les gangs fascistes de l’État Islamique (EI). Un combat qui a demandé d’énormes sacrifices aux peuples kurde et arabe ainsi qu’aux volontaires internationalistes. Depuis la défense héroïque de Kobané, nous sommes passé.e.s à l’offensive en libérant de nouveaux territoires et en gagnant ainsi plus de terrain pour que la révolution s’enracine. Manbij était un objectif stratégique capital. La ville servait de deuxième capitale pour l’EI. Elle facilitait le transport de troupes, de ressources et de munitions depuis la Turquie. Elle permettait aussi de défendre le front ouest de Raqqa et constituait un obstacle pour le combat d’unification des trois cantons du Rojava. Sa libération fut une grande victoire pour les Forces Démocratiques Syriennes (FDS) mais eut un coût énorme en vies. Malheureusement, après cela les opérations pour Jarablus et Al-Bab ont été mises en suspens à cause de l’intervention criminelle de la Turquie qui protège ses alliés de l’EI.

L’étape suivante fut le lancement de l’opération pour Raqqa avec sa longue et difficile avancée au sud sur plusieurs fronts à la fois. Elle consistait autant en des mouvements offensifs que défensifs et le BIL était toujours au cœur de l’action. Début juin l’attaque sur la ville elle-même a commencé. Nous avons pu appliquer tout ce que nous avions appris sur la guerre urbaine à Kobané et à Manbij. Nos tactiques ont continué à se développer et à s’ajuster pour faciliter l’évolution constante de la doctrine militaire des FDS. Par exemple, nous avons eu une approche beaucoup plus précise sur les mouvements offensifs que lors des opérations précédentes. Nous avons déployé moins d’unités afin d’utiliser des unités mécanisées et des véhicules blindés de manière innovante. Les armes lourdes, l’artillerie et les frappes aériennes nous ont permis de bombarder les zones d’opération. Ainsi, nous avons pu contrer tant les vieilles que les nouvelles tactiques de nos ennemis fascistes, comme l’utilisation de drônes de reconnaissance ou de combat, les armes improvisées,   le minage des zones de combat et la construction de réseaux de tunnels. Après quatre mois d’opérations intensives, nous avons pu libérer Raqqa. Ce fut un coup décisif dans notre combat contre l’EI, tant sur le plan stratégique, idéologique que symbolique. L’esprit révolutionnaire des peuples du Rojava a ainsi pu détruire un ennemi que beaucoup ont fui.

La suite est : .

Notre camarade Gael Roblin est allé animer un débat le 27/07 à l’invitation du Secours Rouge de Brussel/Bruxelles ayant pour thème la répression contre le mouvement anti-loi travail. C’est plus d’une vingtaine de personnes qui ont pris part à cette échange basé notamment sur le jugement de l’appel de de Plouaret prés de Guingamp et la répression du mouvement anti-loi travail à Nantes et Rennes. Les échanges ont porté sur l’évolution de la répression, policière et judiciaire, et les initiatives de solidarité anti-répressive.

Au cours de la soirée les militants du Secours Rouge ont reçu la visite de Nalan Oran, militante de Kurde de l‘Union des Femmes Socialistes et réfugiée à Brussel et incarcérée 20 jours en Roumanie dans le cadre d’une tentative d’extradition vers la Turquie qui veut lui faire purger une longue peine de prison pour ses activités féministes et révolutionnaires. Elle a été libérée le 26/07 grâce aux actions de solidarité impulsées par le Secours Rouge. C’est bien volontiers que les deux camarades ont pris la pause avec le visuel de la campagne en soutien aux internationalistes combattants au Rojava.

Par ailleurs notre militant a pu assister à d’autres actions de la communauté Turque et Kurde en solidarité  avec Nuriye Gulmen et Semih Özakça, deux enseignants incarcérés en Turquie en raison de leurs engagement politique de gauche. Ils sont en grève de la faim depuis 143 jours et viennent d’être transférés pour être nourris de force. Nuriye et Semih sont deux enseignants turcs proches du Front Populaire, limogés suite au Coup d’État. Ils se sont mis en grève de la faim et un grand mouvement a pris forme autour d’eux, à tel point que la Turquie les a arrêtés et emprisonnés pour appartenance à une organisation terroriste (le DHKP-C).

Derrière la répression se cache le capital, la lutte anticapitaliste est internationale !

Une fois de plus, nous pouvons voir à quel point la solidarité et l’antifascisme sont bien ancrés en Bretagne. En ce moment, les nouvelles du Rojava sont inquiétantes avec la menace de l’état fasciste turque le long de la frontière au nord, alors que les combattants kurdes et internationaux sont en pleine lutte contre Daesh pour la libération de territoires et de ville comme Raqqa.

Jusqu’à maintenant les Syrian Democratic Forces parviennent à maintenir libre les territoires sous leur protection et même à gagner du terrain comme dans la ville de Tabqa ou sur le front de Raqqa. C’est pour soutenir les militants révolutionnaires du Rojava que quelques breton-ne-s ont décidé d’organiser un fest-noz. L’argent récolté lors de ce fest-noz servira à venir en aide aux combattants de l’IFB (International Freedom Battalion) et des Syrian Democratic Forces.

Pour être plus précis, des pansements hémostatiques qui servent à stopper les hémorragies dues aux blessures par balles seront achetés et envoyés sur le terrain. Ce fest-noz sera organisé le 3 juin au Cloître-Saint-Thégonnec. Une personne ayant fait le voyage jusqu’au Rojava viendra raconter son expérience à partir de 19h30. Les concerts commenceront à partir de 20h30.

Les organisateurs ont lancé une collecte d’argent sur Internet (https://fr.ulule.com/fest-noz-solidaire/) pour acheter les différentes affaires nécessaires à l’organisation de la soirée. “Nous avons besoin d’un peu d’argent d’avance pour imprimer les affiches, acheter la nourriture, la décoration de la salle ou encore la location d’un barnum, …” nous dit Jarlez, l’un des organisateurs. “Vous écouterez de la bonne musique et vous vous régalerez avec les différents plats préparés par les bénévoles” poursuit Jarlez. Une soirée solidaire dansante et plaisante en perspective !

Visuels de t-shirts proposés sur la page du crowdfunding pour le fest-noz

Ur wech c’hoazh e vez gwelet penaos eo plantet mat ar c’hengred hag ar stourm enepfaskour e Breizh. Keleier Rojava a zo nec’hus er mare-mañ, gant an durked gourdrouzus e-tal-kichen an harz. Ouzhpenn d’o emgann a-enep faskourien ar strollad Daech e tle ar gurded mont da vrezeliñ a-enep faskourien stad Turkia. Neuze, evit prenañ dafar pareañ, un nebeud bretoned ‘neunt dibabet aozañ ur fest-noz. An arc’hant a-bezh a vo implijet evit sikour ar gurded ha stourmerien etrebroadelour an IFB (= International Freedom Battalion, a stourm gant ar Syrian Democratic Forces ‘benn ar fin).

Evit bezañ resisoc’h, lienadoù omeostatik a servij da louzaouiñ ar goulioù a vo prenet ha digaset dezhe. Ar fest-noz-se vo aozet d’an 3 a viz Even er C’hloastr-Plourin hag an aozerien ‘neunt lañset un dastumadeg arc’hant war ar rouedad evit prenañ dafar aozañ :
Evit moulañ ar skritelloù, fardañ ar boued, feurmiñ un deltenn vras ‘meump ezhomm eus un tammig arc’hant en a-raok” eme Jarlez, unan eus an aozerien. “Selaou a reoc’h arzourien a-feson hag e tebroc’h boued lipous“.
Un abardaevezh kengret ha plijus da zont !

T-shirtoù kinniget war ar raktres crowdfunding

L’université de rentrée de la Gauche Indépendantiste est résolument placée sous le signe de l’internationalisme, du féminisme et du droit à l’autodétermination et de la lutte anticapitaliste. Toutes les activités, ateliers et débats sont gratuits et ouverts à tous et toutes.

 

Vendredi 30 septembre/ D’ar Gwener 30 a viz Gwengolo

Fest-noz Antifa ! Au bénéfice du collectif antifasciste du Trégor-Goelo en cours de constitution (entrée : 5 euros).

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Samedi 1er octobre/ D’ar Sadorn 1añ a viz Here

L’actualité nous oblige cette année a consacrer le volet internationaliste de nos journées au Kurdistan.

Le samedi 1er octobre à 11h00, diffusion du film « Kurdistan, rêve de printemps/huñvreal an nevez amzer » un film en langue bretonne de 52mn de Mikael Baudu (Prod. Gwengolo ha France 3 Breizh) suivi d’un débat avec des militantEs des Amitiés Kurdes de Bretagne et du Secours Rouge et du Révolutionär Aufbau de Zürich qui reviennent du Kurdistan. La campagne pour le bataillon international au Rojava sera bien sur évoquée.

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13h00 Repas/Pred

14h30: Atelier en français sur la complémentarité des luttes anticapitalistes, féministes et indépendantistes animée par une camarade de Breizh O Stourm.

15h15 : Présentation en breton du collectif féministe DIREIZH et de ses activités passés et à venir.

17h00 : Débat en français sur le mouvement contre la loi travail en présence de membres de Nuit Debout, de syndicalistes, d’étudiant. « Début d’un mouvement de fond ou queue de comète d’un cycle de luttes » animé par Alan Le Cloarec (BOS)

19h00 Apéro-Digor Kalon

20h00 Repas/Pred

21h00 Dance Floor autogéré

 

Dimanche 2 octobre/D’ar Sul 2 a viz Here

 

10h00 : « Nécessité et actualité des luttes des Travailleurs/euses du sexe” des TDS (Travailleuses Du Sexe) féministes révolutionnaires qui cherchent à s’organiser en Bretagne.

12h30 : repas/pred

13h30 : Débat : “Des luttes environnementales à la lutte pour un pouvoir politique populaire Breton”. Les luttes contre le projet d’aéroport à Notre-Dame-des-landes, contre l’extraction de sable dans la baie de Lannion, contre les projets miniers, contre la Centrale à gaz n’ont pas seulement comme point commun d’être en défense de l’environnement. Ces luttes montrent combien l’ultra-centralisme français nie toute forme de démocratie locale pouvant permettre au peuple Breton d’exercer son droit à décider en quelque matière que ce soit. L’ensemble de ces institutions semblent être là pour garantir que les capitalistes puissent mener à bien ce genre de projet massivement combattus ici. Cette absence d’outils pour exercer notre souveraineté souligne la pertinence du projet indépendantiste de gauche. Mais après la tenue du referendum “officiel” sur le projet d’aéroport en pays Nantais, la victoire du Brexit comment exercer de manière subversive et efficace la démocratie bourgeoise et mener à bien notre projet en faveur d’une Bretagne réunifiée, libre et anticapitaliste ? “ avec Jonathan Guillaume (Gauche Indépendantiste militant en Pays Nantais), Guillaume Bricaud et Gael Roblin (Gauche Indépendantiste).

16h00 Dibenn/Cloture.

Tout le week-end : table de presse, matériel militants, stands, bouffe et possibilité de camping.

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Le 28 avril, une manif de plus contre la loi travail… elle s’annonce massive et c’est tant mieux. Depuis quelques semaines on entend parler de « grève reconductible » et de « grève générale » et même certains syndicats en ont parlé.
Le phénomène « Nuit debout » a permis de faire durer le mouvement de contestation tout au long du moi d’avril. Et on peut souligner qu’il a trouvé de l’écho hors des grands centres urbains comme en témoignent les assemblées de Questembert, Chateaulin, Saint-Aubin du Cormier, Guingamp, … Mais soyons sérieux, si nous voulons gagner il va falloir parler à un moment des modes d’actions.
Organiser la grève générale au sein d’un prolétariat dispersé dans des centres de productions éloignés les uns des autres, sans une grande présence syndicale (quand il y en a) ne se décrète pas. Les affrontements avec la police où la gendarmerie sont légitimes dans le sens où nous défendons notre droit de manifester où bon nous semble dans les grandes villes que les préfets veulent nous interdire. Mais c’est beaucoup d’énergie dépensée que nous pourrions utiliser pour bloquer les flux.

Une journée de grève c’est fait pour bloquer l’économie, pas pour compter les calicots et les banderoles.

Donc oui, il va falloir s’organiser pour faire des piquets volants pour obliger les centres commerciaux à fermer, les grandes enseignes, les entrepôts, les 4 voies, les voies ferrées… Ce n’est que comme ça que l’on pourra commencer à parler de victoire, de sa possibilité. Ceux qui prétendent lutter contre la loi travail mais ne veulent pas envisager ce type d’actions doivent nous expliquer pourquoi nous devrions avoir un niveau de combativité inférieure à celle des productivistes pro agro-business de la FNSEA…
Notre rapport à la violence peut être différent, mais la désobéissance collective permettra à chacun de participer à ces blocages suivant ses convictions, ses capacités.

Le président de la CCI de Nantes a osé demander aux syndicats d’annuler la manif du 28 parce que les banques sont taguées ou symboliquement détériorées et que les grandes enseignes se plaignent d’une baisse de fréquentation. C’est comme ça que l’on va gagner, pas autrement.

Refusons la division entre « bons manifestants » et « méchants casseurs » : beaucoup de syndicats ont apporté leurs soutien aux manifestants déférés devant la « justice », d’autres appellent à manifester casqué pour se protéger de la violence de la police, tout cela va dans le bon sens.

Un nouveau préfet, Christophe Mirmand, vient d’arriver en Bretagne : il n’est pas élu et il a plus de pouvoir que les élus de notre ridicule conseil régional. Le précédent  (Patrick Strzoda) qui a minoré les violences policières contre les opposants à la loi travail a été promu au ministère de l’intérieur. Rappelons donc à son successeur qu’il n’est pas le bienvenu ici et inaugurons donc sa mission par une turbulente grève générale dés le lendemain du premier mai !

Bretagne en Luttes / Breizh o Stourm

Voici une liste non-exhaustive des mobilisations contre la loi Travail en Bretagne le 28 avril.

Loire-Atlantique/Liger-Atlantel

  • Nantes/Naoned : 10h30 — Esplanade des machines de l’île (départ de la Fac à 9h30)
  • Saint-Nazaire/Sant-Nazer : 10h30 — Place de l’Amérique Latine
  • Châteaubriant/Kastell-Brient : 10h30 — Place de la Mairie
  • Coueron/Koueron : 10h30 — Place de la Mairie
  • Ancenis/Ankiniz : 10h30 — Station Esso

Ille-Et-Vilaine/Il-ha-Gwilun

  • Rennes/Roazhon : 11h00 — Esplanade Charles de Gaulle
  • Redon : 11h00 — Sous-Préfecture
  • Saint-Malo/Sant-Malou : 11h00 — Devant la Médiathèque “La Grande Passerelle”
  • Fougères/Felger : 17h30 — Place Aristide Briant

Finistère/Penn-ar-Bed

  • Brest : 10h30 — Place de la république
  • Quimper/Kemper : 10h30 — Place de la Résistance
  • Carhaix/Karaez : 10h30 — Rassemblement devant les locaux de la CGT
  • Morlaix/Montroulez : 10h30 — Place de la Mairie
  • Quimperlé/Kemperle : 10h30 — Place Saint-Michel

Morbihan/Mor-Bihan

  • Lorient/An Oriant : 14h00 — 84 Boulevard Cosmao Dumanoir
  • Vannes/Gwened : 14h00 — La Rabine
  • Pontivy/Pondi : 14h00 — La Plaine
  • Lanester/Lannarstêr : 13h00 — Pont des Indes
  • Belle-île-en-Mer/Enez ar Gerveur : 14h00 — Le Port du Palais

Côtes d’Armor/Aodoù an Arvor

  • Saint-Brieuc/Sant-Brieg : 10h30 — Place de la Liberté
  • Guingamp/Gwengamp : 11h00 — Parvis de la Mairie
  • Dinan : 12h00 — Esplanade de la Résistance
  • Lannion/Lannuon : 11h00 — Place de Caerphily
  • Rostrenen/Rostrenn : 10h30 — Place du Champs de Foire

Voici une liste non-exhaustive des mobilisations contre la loi Travail en Bretagne le 9 avril.

Loire-Atlantique/Liger-Atlantel

  • Nantes/Naoned : 14h00 — Esplanade des machines de l’île
  • Saint-Nazaire/Sant-Nazer : 14h00 — Devant la Gare SNCF

Ille-Et-Vilaine/Il-ha-Gwilun

  • Rennes/Roazhon : 11h00 — Esplanade Charles de Gaulle
  • Redon : 11h00 — Sous-Préfecture
  • Saint-Malo/Sant-Malou : 11h30 — Devant la Médiathèque “La Grande Passerelle”
  • Vitré/Gwitreg : rassemblement prévu (12h00 ?)
  • Fougères/Felger : rassemblement prévu

Finistère/Penn-ar-Bed

  • Brest : 14h00 — Place de la liberté
  • Quimper/Kemper : 14h00 — Place de la Résistance
  • Carhaix/Karaez : 10h30 — Place du Champ de Foire
  • Morlaix/Montroulez : 10h00 — Place Puyo (Face à l’IUT)
  • Quimperlé/Kemperle : 10h30 — Place Saint-Michel

Morbihan/Mor-Bihan

  • Lorient/An Oriant : 10h30 — 84 Boulevard Cosmao Dumanoir
  • Vannes/Gwened : 10h30 — La Rabine
  • Pontivy/Pondi : 10h30 — La Plaine
  • Belle-île-en-Mer/Enez ar Gerveur : 10h30 — Le Port du Palais

Côtes d’Armor/Aodoù an Arvor

  • Saint-Brieuc/Sant-Brieg : 11h00 — Esplanade des Champs
  • Guingamp/Gwengamp : 10h00 — RDV à Kernilien pour se rendre en caravane automobile à Lannion, arrêt à Bégard à 10h20 sur le parking de la MJC.
  • Lannion/Lannuon : 11h00 — Devant La Poste.